Ce dimanche matin, 29 décembre 2019, au Quartier Bochèt, au lamentin, d'anciens ouvriers de la banane ont parlé des ravages sur leur santé, après l'utilisation des pesticides dont le chlordécone.
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Le quartier Bochèt au Lamentin se trouve juste à côté de la route nationale où vivent les rescapés, les survivants, les oubliés de la banane encore entourés de champs de bananes.
Une cinquantaine d’anciens ouvriers de la banane et leurs enfants, se sont rassemblés pour témoigner des maladies dont ils souffrent et dont certains sont morts.
Des témoignages très forts, qui mettent directement en cause l’exposition au chlordécone et autres pesticides, à une époque où tout était permis…
(Re)voir le reportage de Delphine Bez et Jean-Marc Kennenga.
Interviennent dans ce reportage :
Gisèle Linos, ancienne ouvrière de la banane
Bernadette Baubant, ancienne ouvrière de la banane
Philippe Méridin, ancien ouvrier de la banane
Arlette Linos, ancienne ouvrière de la banane
Christine Criquet, fille d'une ancienne ouvrière de la banane.
Ces ouvriers et leurs familles espèrent surtout obtenir de l'Etat, que ces maladies soient reconnues comme maladies professionnelles.
Le Président de la République, Emmanuel Macron n'a t-il pas enfin reconnu la responsabilité de l'État dans le scandale du chlordécone aux Antilles Françaises, lors d'un discours prononcé en Martinique le jeudi 27 septembre 2018 ?
Une cinquantaine d’anciens ouvriers de la banane et leurs enfants, se sont rassemblés pour témoigner des maladies dont ils souffrent et dont certains sont morts.
Des témoignages très forts, qui mettent directement en cause l’exposition au chlordécone et autres pesticides, à une époque où tout était permis…
(Re)voir le reportage de Delphine Bez et Jean-Marc Kennenga.
Gisèle Linos, ancienne ouvrière de la banane
Bernadette Baubant, ancienne ouvrière de la banane
Philippe Méridin, ancien ouvrier de la banane
Arlette Linos, ancienne ouvrière de la banane
Christine Criquet, fille d'une ancienne ouvrière de la banane.
Ces ouvriers et leurs familles espèrent surtout obtenir de l'Etat, que ces maladies soient reconnues comme maladies professionnelles.
Le Président de la République, Emmanuel Macron n'a t-il pas enfin reconnu la responsabilité de l'État dans le scandale du chlordécone aux Antilles Françaises, lors d'un discours prononcé en Martinique le jeudi 27 septembre 2018 ?