Les membres de l’association Coordination Vigilance Sargasses déplorent un certain nombre de réactions jugées passives ou inadaptées à la situation. Il lancent un nouvel appel à la prise de conscience à l’encontre du phénomène de sargasses qui touche actuellement l’île.
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Face à la nouvelle invasion de sargasses, certes moins importante que celle de 2015, l’association Coordination Vigilance Sargasses tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. Elle demande une plus grande attention des autorités compétentes sur le sujet et exige "un renforcement des dispositions concrètes devant être plus approfondies, soutenues et efficaces". L’association a récemment publié une liste de revendications en mettant en lumière les effets néfastes de la sargasse sur le quotidien des habitants martiniquais touchés par le phénomène.
Depuis quelques années maintenant, la Martinique est victime d’un phénomène de sargasses, cette algue brunâtre qui s’agglomère en masse sur les rivages de l’île. Une fois sur terre, la sargasse se décompose et libère du gaz H2S, l’hydrogène sulfuré, réputé pour sa toxicité à forte dose et son odeur nauséabonde. La sargasse est considérée par beaucoup comme un fléau auquel les municipalités semblent éprouver le plus grand mal à trouver des solutions, tant ce phénomène est incompris et irrégulier.
Des solutions seraient à l’étude actuellement en Guadeloupe notamment (transformation de la sargasse en plastique végétal ou en charbon, utilisation pour le fourrage à bovins, barrages côtiers empêchant à l’algue de venir s’échouer sur les plages etc…) et devront faire leurs preuves afin de solutionner durablement ce problème.
Un phénomène récurrent mais irrégulier
Depuis quelques années maintenant, la Martinique est victime d’un phénomène de sargasses, cette algue brunâtre qui s’agglomère en masse sur les rivages de l’île. Une fois sur terre, la sargasse se décompose et libère du gaz H2S, l’hydrogène sulfuré, réputé pour sa toxicité à forte dose et son odeur nauséabonde. La sargasse est considérée par beaucoup comme un fléau auquel les municipalités semblent éprouver le plus grand mal à trouver des solutions, tant ce phénomène est incompris et irrégulier.
Des solutions seraient à l’étude actuellement en Guadeloupe notamment (transformation de la sargasse en plastique végétal ou en charbon, utilisation pour le fourrage à bovins, barrages côtiers empêchant à l’algue de venir s’échouer sur les plages etc…) et devront faire leurs preuves afin de solutionner durablement ce problème.
Le courrier de l'association Coordination Vigilence Sargasses
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