Dans le conflit des transports dans les villes du centre qui dure depuis samedi dernier, la direction de la CFTU a tenu à donner sa version des faits sur la personne licenciée et la légitimité du droit de retrait des chauffeurs.
Vingt-quatre heures après le syndicat des chauffeurs, la direction de la Compagnie Foyalaise de Transport Urbain (CFTU), et son avocat, ont tenu à faire quelques mises au point.
Concernant le licenciement qui a provoqué ce blocage, Alain Alfred, le Président Directeur Général de la CFTU, explique que la salariée a déjà été mise à pied par deux fois cette année après des altercations et abandon de poste. Elle a eu droit également à six rappels à l’ordre pour son comportement. Il assure donc que la procédure a été respectée.
Même chose pour l’application du règlement intérieur. Alain Alfred a saisi la direction du travail pour statuer sur la légitimité du droit de retrait, qui ne peut s’appliquer qu’en cas de danger grave et imminent. (Re)voir notre reportage.
2 mises à pied, 6 rappels à l'ordre pour la personne licenciée
Concernant le licenciement qui a provoqué ce blocage, Alain Alfred, le Président Directeur Général de la CFTU, explique que la salariée a déjà été mise à pied par deux fois cette année après des altercations et abandon de poste. Elle a eu droit également à six rappels à l’ordre pour son comportement. Il assure donc que la procédure a été respectée.
Même chose pour l’application du règlement intérieur. Alain Alfred a saisi la direction du travail pour statuer sur la légitimité du droit de retrait, qui ne peut s’appliquer qu’en cas de danger grave et imminent. (Re)voir notre reportage.