Comme dans l’hexagone, le premier fast-food de Martinique passe à l’heure du numérique en installant des bornes automatiques de commandes, censées rendre le service plus rapide et éviter la file d’attente.
Après les caisses automatiques qui gagnent progressivement de l’espace dans plusieurs hypermarchés de l’île, la restauration rapide s’y met à son tour. La chaîne de fast-food est en train d'installer des bornes automatiques dans ses restaurants, l’objectif étant d’éviter les files d’attente. C’est déjà le cas à Schoelcher et à Fort-de-France.
La borne dont le coût oscille entre 18 et 20 000 euros, permet aux clients munis d'une carte bancaire, de choisir leurs menus et de régler. Aussitôt la commande passée, la machine imprime un ticket de caisse, qui servira de preuve d'achat pour l'agent de comptoir.
Ces bornes automatiques sont donc censées fluidifier la vente des plateaux-repas, dans une chaîne de restaurants où la rapidité est l'un des arguments commerciaux.
Mais cette numérisation du service risque d’impacter l’emploi, en supprimant des caisses "traditionnelles" (en dehors de celles où le paiement en espèces est accepté), d’autant que la commande électronique offre la possibilité aux consommateurs d’être servis à table. Le développement numérique de l’enseigne multinationale passe aussi par les commandes via Internet, un service déployé depuis 2013 en France métropolitaine, lequel pourrait être la prochaine étape de cette stratégie digitale.
Être servis en un minimum de temps
La borne dont le coût oscille entre 18 et 20 000 euros, permet aux clients munis d'une carte bancaire, de choisir leurs menus et de régler. Aussitôt la commande passée, la machine imprime un ticket de caisse, qui servira de preuve d'achat pour l'agent de comptoir.
Ces bornes automatiques sont donc censées fluidifier la vente des plateaux-repas, dans une chaîne de restaurants où la rapidité est l'un des arguments commerciaux.
Mais cette numérisation du service risque d’impacter l’emploi, en supprimant des caisses "traditionnelles" (en dehors de celles où le paiement en espèces est accepté), d’autant que la commande électronique offre la possibilité aux consommateurs d’être servis à table. Le développement numérique de l’enseigne multinationale passe aussi par les commandes via Internet, un service déployé depuis 2013 en France métropolitaine, lequel pourrait être la prochaine étape de cette stratégie digitale.