Les deux partis ont amorcé le dialogue mardi 23 novembre 2021, après un mois de grève illimitée comme l’avaient promis les 6 organisations mobilisées. Ces dernières réclament toujours le départ du Directeur Général et de son adjoint.
Pour les représentants du personnel, c’est le point crucial de la plate-forme, puisqu’ils n’en démordent pas. Néanmoins, ils devraient rester à la table des négociations pour défendre leurs autres doléances.
Des moyens supplémentaires, l’arrêt des suppressions de postes pour un service public de qualité, des organisations adaptées au contexte local...
Les syndicats dénoncent aussi "une politique salariale basée sur le favoritisme et la discrimination, une absence de GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences), des NAO (Négociation Annuelles Obligatoires) au point mort".
Télétravail et service minimum
Pour l’heure, on semble être encore loin d’un retour à la normale, mais les partenaires signalent toutefois qu’un service minimum est maintenu et que le télétravail est privilégié, afin de traiter à distance les différentes prestations relevant de la CGSSM (retraites, assurance maladie, URSAFF…).
Les échanges devraient donc se poursuivre entre l’intersyndicale, la directrice des Ressources Humaines, le responsable financier et le DG contesté. Ce dernier sera prié de se retirer une fois que le point concernant la demande de son éviction sera abordé, préviennent les élus mobilisés.
Nous restons plus que jamais, déterminer dans notre mobilisation !