Le carnaval de Martinique attire les foules. Chaque année les touristes sont de plus en plus nombreux et choisissent cette période pour prendre du bon temps et découvrir l'île aux fleurs. Aujourd'hui, mercredi des Cendres (25 février 2020) le clou du carnaval sera l'incinération du Roi Vaval.
Ils viennent de France mais aussi d'Espagne, du Canada, du Portugal, de Belgique ... Les touristes ne s'y trompent pas. Ici, en Martinique, le carnaval respire l'authenticité.
Les carnavaliers se sont entraînés pendant de longs mois pour ces journées là. Ils donnent le maximum d'eux-mêmes au rythme des percussions et des caisses claires. Pour un défilé d'un après-midi, d'une nuit, dans les rues du Lamentin, du François, de Fort-de-France, de Saint-Pierre ...
Une aubaine pour le tourisme. Regardez ce reportage de Guillaume Bacoul et d'André Quion Quion
A quelques heures du mercredi des cendres (25 février 2020), le clou du carnaval de Fort-de-France se prépare dans l'ombre pour mieux rejaillir dans la lumière.
Pour la légende, c'est le jour des diablesses ou guiablesses, selon le guide du carnaval du comité de tourisme martiniquais qui s’articule, à son origine, à partir d’un vieux mythe de l'île aux fleurs.
Une femme seule très grande et très belle s’avance à midi sur la route, elle est habillée de noir, elle séduit l’homme qui s’adresse à elle, elle l’entraîne loin des habitations, puis elle dévoile au petit matin son visage hideux et son pied de bouc. Trop tard, elle pousse l’homme du haut de la falaise, c’est la mort.
Dans cette femme qui surgit aussi mystérieusement, il y a une énigme jamais résolue, et l’énigme est inspiratrice.
Entre jeux de vie et de mort, libertés et convulsions, joies et apeurements, désertion et présence face au destin, le carnaval met en scène la Diablesse ou Guiablesse le Mercredi des Cendres, faisant du carnaval martiniquais le seul qui inclut le diable.
Les carnavaliers se sont entraînés pendant de longs mois pour ces journées là. Ils donnent le maximum d'eux-mêmes au rythme des percussions et des caisses claires. Pour un défilé d'un après-midi, d'une nuit, dans les rues du Lamentin, du François, de Fort-de-France, de Saint-Pierre ...
Une aubaine pour le tourisme. Regardez ce reportage de Guillaume Bacoul et d'André Quion Quion
Pour la légende, c'est le jour des diablesses ou guiablesses, selon le guide du carnaval du comité de tourisme martiniquais qui s’articule, à son origine, à partir d’un vieux mythe de l'île aux fleurs.
Une femme seule très grande et très belle s’avance à midi sur la route, elle est habillée de noir, elle séduit l’homme qui s’adresse à elle, elle l’entraîne loin des habitations, puis elle dévoile au petit matin son visage hideux et son pied de bouc. Trop tard, elle pousse l’homme du haut de la falaise, c’est la mort.
Dans cette femme qui surgit aussi mystérieusement, il y a une énigme jamais résolue, et l’énigme est inspiratrice.
Entre jeux de vie et de mort, libertés et convulsions, joies et apeurements, désertion et présence face au destin, le carnaval met en scène la Diablesse ou Guiablesse le Mercredi des Cendres, faisant du carnaval martiniquais le seul qui inclut le diable.