Concert de Kalash en Martinique : l’artiste a mis le feu au stade de Dillon à Fort-de-France

Il avait promis un concert "historique" et il l’a fait. Mercredi soir (14 août), Kalash a livré un show spectaculaire aux 23 000 spectateurs du stade de Dillon à Fort-de-France. Pendant plus de 3 heures, le "Mwaka Boss" a enflammé la scène… au sens propre, comme au figuré ! 

Dès l’ouverture du show, Kalash a créé la surprise. Il est apparu au-dessus de la scène, perché sur une nacelle et vêtu d'un costard, un projecteur de flammes à la main. 

Accompagné de ses musiciens, l’artiste martiniquais a interprété une trentaine de ses titres, en live. Entre les flammes, les invités surprises, les changements de tenues et la pyrotechnie… les spectateurs en ont pris plein les yeux du début à la fin. 

Reggae, dancehall, shatta… le chanteur a mis tout le monde d'accord et a fait honneur à son île.

De nombreux invités

Pour rendre ce moment encore plus unique, "l'enfant du pays" a fait appel à de nombreuses personnalités. Hier soir, Kalash a partagé la scène avec divers artistes. Il a notamment interprété un de ses premiers hits, "Pran pié" avec Lieutenant, "Moments gâchés" avec Satori, "Laptop" avec Maureen…

Le public a également eu la surprise de voir Saël, Lord Kossity, Mc Janick, Don Miguel, Pleen Pyroman, la violoniste Afroline ou encore… Thierry Henry. Pour rappel, l'ex-footballeur international et actuel sélectionneur de l'équipe de France espoirs était à la direction artistique du single "En Balade" en collaboration avec Kima, qui était également présent. 

"Bando", "Plézi", "Big Machine", "Après l’automne", "Chanson du Mwaka", "Free me", "Independant gyal", "Taken", "So coman"... la liste est longue. Le public a revisité le répertoire de Kalash.

Avec tous ses hits, il a déchaîné la foule et fait vibrer la scène. 

Pour clôturer ce concert mémorable, c’est avec des étoiles plein les yeux et beaucoup d'émotion que les milliers de spectateurs ont dit au revoir au chanteur sur les titres "Tombolo" et "Mada", telle une chorale.

Après cette performance, on reste sans voix. Il fallait être là…