Confinement : les présidents de ligue souhaitent encore une plus grande liberté d'action

Joueur de handball en Martinique.
L'ensemble du mouvement sportif de Martinique se félicite de l'accord de principe avec la préfecture concernant la reprise des entrainements. Au lendemain de la réunion du mercredi 20 octobre 2021, certains responsables estiment que ce n'est pas suffisant et qu'il faut aller encore plus loin.

L’accord de principe entre la préfecture de Martinique et le mouvement sportif pour une dérogation du couvre-feu pour les entraînements a été salué par les différents présidents de ligue.

Alex Badian, l’un des leaders du mouvement estime que cette décision était indispensable à plus d’un titre.

Deux autres présidents ont été particulièrement actifs, il s’agit de Samuel Perrault (football) et Sophie Sorrente. Cette dernière qui dirige la ligue de Martinique de Karaté se félicite de la décision préfectorale. 

C’est un bon début, même si on sait que ça ne vas pas résoudre le problème.

Cela permet dans un premier temps à toutes les catégories des plus petits aux plus grands de pouvoir pratiquer un peu plus sereinement et de revenir progressivement en club. 

 

Au niveau de la ligue de karaté plus spécifiquement, cela permet d’envisager le calendrier et son déroulement.

 

Les compétitions nationales ont commencé depuis le début du mois d’octobre 2021. 

Les nôtres devraient débuter le mois prochain. Plus la rentrée des clubs et des différentes catégories, est retardée et plus cela aura des incidences sur le début des  compétitions ou elles commenceront en demi effectifs.

Sophie Sorrente, présidente de la ligue de karaté de Martinique


Frédéric Flament le président de la ligue de handball est lui aussi satisfait. Il souhaite désormais que la préfecture accède aux autres doléances, notamment l’allègement du pass sanitaire qui a un coût financier important.

Frédéric Flament président ligue de Handball

Avec cet accord, les sportifs pourront effectuer des entraînements encadrés après 19 heures et jusqu'au début de l'heure légale du couvre-feu.