Le personnel de la CTM brandit la menace de la grève en déposant un préavis de grève pour le lundi (5 mars). Une intersyndicale a adressé un courrier aux conseillers exécutifs pour dénoncer l’ambiance qui règne au sein de la collectivité depuis plusieurs mois.
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Selon les membres de cette intersyndicale, qui ont décidé de monter au créneau, "la situation est devenue insupportable pour les agents et les syndicats".
Dans un courrier de deux pages, les syndicats interpellent les élus et dressent une longue liste de revendications. Visiblement, la coupe est pleine pour le personnel de la Collectivité Territoriale de Martinique qui affiche clairement son exaspération.
Quatre syndicats de la Collectivité Territoriale de la Martinique se sont regroupés pour défendre l'intérêt des salariés.
FO-CTM, UPCTM-UNSA, SATM-UGTM et USAM-SAAFAM dénoncent de nombreux dysfonctionnements, notamment "une organisation défaillante et chaotique, un blocage de la carrière et de la mobilité des agents, une absence totale de management ainsi qu'une politique de ressources humaines inexistante et un refus du dialogue social".
L'intersyndicale affirme avoir interpellé à plusieurs reprises sa hiérarchie, sur ces inégalités. Elle demande aux élus d'agir pour remédier à cette situation, qualifiée de "catastrophique".
L'intersyndicale évoque également une grande souffrance parmi le personnel de la CTM avec des risques psychosociaux importants, et des répercussions sur la qualité du service public pour les usagers.
Les organisations syndicales ont prévu de déposer un préavis de grève dès ce lundi (5 mars), si elles n'obtiennent aucune réponse. La balle est dans le camp de la CTM.
Une intersyndicale s'est constituée
Quatre syndicats de la Collectivité Territoriale de la Martinique se sont regroupés pour défendre l'intérêt des salariés.
FO-CTM, UPCTM-UNSA, SATM-UGTM et USAM-SAAFAM dénoncent de nombreux dysfonctionnements, notamment "une organisation défaillante et chaotique, un blocage de la carrière et de la mobilité des agents, une absence totale de management ainsi qu'une politique de ressources humaines inexistante et un refus du dialogue social".
L'intersyndicale affirme avoir interpellé à plusieurs reprises sa hiérarchie, sur ces inégalités. Elle demande aux élus d'agir pour remédier à cette situation, qualifiée de "catastrophique".
L'intersyndicale évoque également une grande souffrance parmi le personnel de la CTM avec des risques psychosociaux importants, et des répercussions sur la qualité du service public pour les usagers.
Les organisations syndicales ont prévu de déposer un préavis de grève dès ce lundi (5 mars), si elles n'obtiennent aucune réponse. La balle est dans le camp de la CTM.