Dans un communiqué publié en début de soirée lundi 19 octobre 2020, le préfet de Martinique, Stanislas Cazelles, "condamne avec fermeté ces actes de vandalisme". Les auteurs seront poursuivis.
Stanislas Cazelles "condamne les actes de vandalisme" perpétrés dans la nuit du 18 au 19 octobre 2020 sur plusieurs radars tourelles. Le représentant de l’État affirme avoir déposé une plainte et une enquête est ouverte pour identifier les auteurs.
Les radars tourelles installés sur des mâts de 4m, sont une nouvelle génération d’équipements déployés en Martinique, en remplacement des premiers radars fixes détruits au fil du temps.
Ils sont utilisés pour le contrôle de la vitesse de la circulation, ou le franchissement des feux rouges. Ils disposent également de la fonctionnalité d’identification de voie de circulation d’un véhicule en infraction et peuvent flasher plusieurs usagers à la fois.
Ces radars intelligents sont aussi capables de faire la différence entre un camion, une voiture ou un deux-roues.
Le préfet de la Martinique rappelle que les contrevenants s’exposent à des sanctions lourdes pouvant aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende, ou 7 ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende, en cas de délits commis en réunion.
Un équipement sophistiqué
Les radars tourelles installés sur des mâts de 4m, sont une nouvelle génération d’équipements déployés en Martinique, en remplacement des premiers radars fixes détruits au fil du temps.
Ils sont utilisés pour le contrôle de la vitesse de la circulation, ou le franchissement des feux rouges. Ils disposent également de la fonctionnalité d’identification de voie de circulation d’un véhicule en infraction et peuvent flasher plusieurs usagers à la fois.
Ces radars intelligents sont aussi capables de faire la différence entre un camion, une voiture ou un deux-roues.
Ces dispositifs qui ont pour vocation première de sauver des vies, ont été implantés dans des zones où de nombreux accidents corporels graves ont été constatés, ayant pour principale cause une vitesse excessive.
C’est notamment le cas pour l’équipement installé sur la RN5 au niveau de l’aéroport qui répond à une demande forte des salariés de la station VITO, suite au décès d’un de leur collègue victime d’un accident de la route.
Le préfet de la Martinique rappelle que les contrevenants s’exposent à des sanctions lourdes pouvant aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende, ou 7 ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende, en cas de délits commis en réunion.