Depuis le passage de l’ouragan Maria dans la nuit de lundi à mardi, les communications téléphoniques, aériennes ou maritimes avec la Dominique sont difficiles, voir impossibles. Le bilan, non encore établi, risque d’être cruel.
En plein ouragan, Roosevelt Skerrit, le premier ministre de la Dominique lançait déjà un appel à l’aide. Dans un post Facebook, il révélait avoir perdu la toiture de son domicile, avoir été heureusement secouru, et il avouait craindre une situation dramatique pour son île.
La Dominique est coupée du monde
Depuis ce post, nous n’avons plus aucune nouvelle du premier ministre. Nous n’avons d’ailleurs pu joindre personne d’autre sur cette île véritablement coupée du monde. En Martinique, beaucoup nous avouent que toute tentative de joindre un ami ou un membre de sa famille est jusqu’à maintenant vouée à l’échec.
Jean-Yves Bonnaire, ce chef d’entreprise Martiniquais établi à Roseau depuis plusieurs années, n’a pu rejoindre hier son lieu de travail et cherche en vain à joindre sa trentaine d’employés. Il confie avoir en vain passé la nuit dernière à chercher par toute sortes de moyens à entrer en contact avec ses proches et à se renseigner sur les dégâts subis par son île d’accueil.
L'hôpital de Roseau sinistré
Pour lui, il est d’ores et déjà prudent d’envisager d’importantes évacuations sanitaires puisque l’hôpital de Roseau a été endommagé et que le nombre de personnes blessées lors du passage de Maria risque d’être important.Malheureusement, les conditions ne se prêtent toujours pas à l’envoi de secours ou même aux opérations de reconnaissance. Un hélicoptère au départ de Fort-de-France a du faire demi tour ce matin en raison de mauvaises conditions climatiques.
La Dominique est coupée du monde
Depuis ce post, nous n’avons plus aucune nouvelle du premier ministre. Nous n’avons d’ailleurs pu joindre personne d’autre sur cette île véritablement coupée du monde. En Martinique, beaucoup nous avouent que toute tentative de joindre un ami ou un membre de sa famille est jusqu’à maintenant vouée à l’échec.
Jean-Yves Bonnaire, ce chef d’entreprise Martiniquais établi à Roseau depuis plusieurs années, n’a pu rejoindre hier son lieu de travail et cherche en vain à joindre sa trentaine d’employés. Il confie avoir en vain passé la nuit dernière à chercher par toute sortes de moyens à entrer en contact avec ses proches et à se renseigner sur les dégâts subis par son île d’accueil.
L'hôpital de Roseau sinistré
Pour lui, il est d’ores et déjà prudent d’envisager d’importantes évacuations sanitaires puisque l’hôpital de Roseau a été endommagé et que le nombre de personnes blessées lors du passage de Maria risque d’être important.Malheureusement, les conditions ne se prêtent toujours pas à l’envoi de secours ou même aux opérations de reconnaissance. Un hélicoptère au départ de Fort-de-France a du faire demi tour ce matin en raison de mauvaises conditions climatiques.