Le renouvellement des instances de la Collectivité Territoriale de Martinique est dans la ligne de mire des états-majors politiques, même si cette échéance ne constitue une priorité pour personne. Il n’empêche qu’il faut s’y préparer.
Qui va gagner les élections territoriales ? Qui sera président du conseil exécutif ? Et président de l’assemblée ?Bien entendu, nul ne le sait. Il faut passer par la case élections. Et auparavant, par une campagne électorale. Une campagne ne sera lancée qu’une fois arrêté le nouveau calendrier. Le Parlement va sûrement opter pour le mois de juin, comme le recommande la commission des sages de Jean-Louis Debré.
Même si le virus Covid-19 circule encore à ce moment-là, la France ne pourra pas se priver de renouveler les assemblées départementales, régionales et territoriales. De nombreux pays élisent leur président, leurs députés ou leurs maires, alors qu’ils sont confrontés à l’épidémie aussi.
Pour le moment, les états-majors affinent leurs projets et préparent leurs listes de candidats. Il reste à savoir qui le sera. Là non plus, nul ne le sait. Personne n’a vraiment formulé de déclaration claire en ce sens. Sauf que des signes indiquent que la quasi-totalité de nos trente formations politiques sont intéressées par ces élections.
Ainsi, le Mouvement indépendantiste martiniquais vient de publier un communiqué flatteur pour son président-fondateur. En lisant entre les lignes, il est évident qu’Alfred Marie-Jeanne va briguer sa succession. Le Parti progressiste se prépare activement, lui aussi. Sa direction hésite sur la date du lancement de sa campagne qui sera selon toute probabilité menée par son président, Serge Letchimy.
Pour Ba péyi’a an chans, de Yan Monplaisir, le doute ne plane plus depuis la rentrée du mouvement créé par le premier vice-président de l’assemblée, nouveau maire de Saint-Joseph. Il est évident qu’il mènera une liste. Il reste à savoir quand et comment il l’annoncera. Pas de mystère non plus chez Péyi’a. Marcellin Nadeau et Jean-Philippe Nilor ne cachent pas leur ambition de conquérir la CTM.
Il faut ajouter à cette liste provisoire des listes probables comme celles de la fédération socialiste de Béatrice Bellay, des Républicains de Fred-Michel Tirault, ou du Modem de Max Orville. Cet inventaire n’est pas exhaustif. La plupart des formations politiques, comme en 2015, vont s’allier au sein de coalitions pour des rassemblements les plus larges possibles. Qui ira avec qui, quand et pour quels objectifs ? Comme nous disons en bon français : annou atann pou wè !
Même si le virus Covid-19 circule encore à ce moment-là, la France ne pourra pas se priver de renouveler les assemblées départementales, régionales et territoriales. De nombreux pays élisent leur président, leurs députés ou leurs maires, alors qu’ils sont confrontés à l’épidémie aussi.
Pour le moment, les états-majors affinent leurs projets et préparent leurs listes de candidats. Il reste à savoir qui le sera. Là non plus, nul ne le sait. Personne n’a vraiment formulé de déclaration claire en ce sens. Sauf que des signes indiquent que la quasi-totalité de nos trente formations politiques sont intéressées par ces élections.
Pas de mystère pour les sortants
Ainsi, le Mouvement indépendantiste martiniquais vient de publier un communiqué flatteur pour son président-fondateur. En lisant entre les lignes, il est évident qu’Alfred Marie-Jeanne va briguer sa succession. Le Parti progressiste se prépare activement, lui aussi. Sa direction hésite sur la date du lancement de sa campagne qui sera selon toute probabilité menée par son président, Serge Letchimy.
Pour Ba péyi’a an chans, de Yan Monplaisir, le doute ne plane plus depuis la rentrée du mouvement créé par le premier vice-président de l’assemblée, nouveau maire de Saint-Joseph. Il est évident qu’il mènera une liste. Il reste à savoir quand et comment il l’annoncera. Pas de mystère non plus chez Péyi’a. Marcellin Nadeau et Jean-Philippe Nilor ne cachent pas leur ambition de conquérir la CTM.
Il faut ajouter à cette liste provisoire des listes probables comme celles de la fédération socialiste de Béatrice Bellay, des Républicains de Fred-Michel Tirault, ou du Modem de Max Orville. Cet inventaire n’est pas exhaustif. La plupart des formations politiques, comme en 2015, vont s’allier au sein de coalitions pour des rassemblements les plus larges possibles. Qui ira avec qui, quand et pour quels objectifs ? Comme nous disons en bon français : annou atann pou wè !