Les parents des 42 enfants bloqués depuis le 30 juillet à Miami peuvent être rassurés, les jeunes vacanciers ont enfin une date de retour. Une partie du groupe est arrivée hier (jeudi 3 août) dans l’après-midi à Fort-de-France tandis les autres jeunes devraient atterrir samedi prochain.
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Après un voyage de 15 jours, les jeunes vacanciers martiniquais se sont retrouvés bloqués avec leurs responsables à l’aéroport international de Miami (Floride). Depuis le 30 juillet la structure Jikaelé assure la prise en charge complète du groupe qui résiderait actuellement dans un motel aux abords de l’aéroport de Miami.
Deux dates de retour ont été annoncées par Jikaelé : "Aujourd’hui ( jeudi 3 août), un groupe de 18 enfants avec accompagnateur rentrera par le vol AF 613 prévu pour 17h" dixit la structure vacancière. Le reste du groupe devrait faire son retour en Martinique le samedi 5 août.
La présidente de l’Association des Victimes du Crash Aérien du 16 août 2005 s’est exprimée au nom des parents des vacanciers de Miami à propos de cette anomalie et estime que les enfants sont hébergés dans "les conditions minimales".
Elle soupçonne également la structure de ne pas avoir pu rassembler les fonds nécessaires à l’achat des billets retour pour l’ensemble du groupe de vacanciers ainsi que pour les accompagnateurs. Ces soupçons sont fondés sur la mobilisation jeudi matin des salariés de Jikaelé qui réclament le paiement des salaires du mois de juin ainsi que le paiement des indemnités de fins de contrats.
Deux dates de retour ont été annoncées par Jikaelé : "Aujourd’hui ( jeudi 3 août), un groupe de 18 enfants avec accompagnateur rentrera par le vol AF 613 prévu pour 17h" dixit la structure vacancière. Le reste du groupe devrait faire son retour en Martinique le samedi 5 août.
Interview Vincent Auguste Charlery, président de Jikaelé
Marie-Rose Pélican dénonce "des conditions minimales"
La présidente de l’Association des Victimes du Crash Aérien du 16 août 2005 s’est exprimée au nom des parents des vacanciers de Miami à propos de cette anomalie et estime que les enfants sont hébergés dans "les conditions minimales".
Elle soupçonne également la structure de ne pas avoir pu rassembler les fonds nécessaires à l’achat des billets retour pour l’ensemble du groupe de vacanciers ainsi que pour les accompagnateurs. Ces soupçons sont fondés sur la mobilisation jeudi matin des salariés de Jikaelé qui réclament le paiement des salaires du mois de juin ainsi que le paiement des indemnités de fins de contrats.