Le Cénacle du 1er juillet 2024 a été un moment de communion sur les danses traditionnelles au grand Carbet du Parc Aimé Césaire. 300 spectateurs ont pris possession de l'espace pour écouter les conférenciers et assister aux démonstrations de danses afro-martiniquaise et antillo-guyanaise.
Démarche pédagogique
Danser et chanter le bèlè, c’est mettre en évidence le cœur du pays et valoriser la solidarité et valoriser les aînés qui nous ont légué des œuvres qui constituent le patrimoine.
Saïd Dru et Annick Dantin de l'association martiniquaise AM4 ont présenté à l'assistance le triptyque Danmyé, Kalenda, bélè et expliqué la gestuelle et les fondamentaux.
La diversité au cœur de la Guyane
Le Guyanais Ancy Clet a présenté un panel de danses, costumes et gestes guyanais. Le kasékô a été présenté comme le kamougué (kanmougwé), le grajé vals (grajévals) et le bélya. Une véritable communion avec sur scène une délégation de tambouyés et de chanteurs et danseurs qui ont valorisé la culture guyanaise.
L'unité dans la diversité des deux pays. Le public a pu interroger les représentants de ces deux héritages et partager dans le respect l'impact de la tradition. Une conférence menée par la modératrice Dominique Cyrille Docteure en ethnomusicologie.
Les participants s'expriment
Anccy Clet le président de fédération des arts de Guyane
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