Le personnel de la CTM envisage une marche de revendications ce lundi 12 mars à 7h30, du boulevard Chevalier Sainte-Marthe, jusqu’à l’Hôtel de la collectivité à Cluny (Fort-de-France) pour manifester "un mécontentement".
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À l'appel des syndicats FO-CTM, UPCTM-UNSA, SATM-UGTM, USAM-ASFAM, CDMT-CTM, le personnel de la Collectivité Territoriale de Martinique est appelé à cesser le travail.
"Suite à l’absence de réponse de la collectivité à la demande de l’intersyndicale déposée le lundi 5 mars, et à son silence concernant la plateforme de revendications, les personnels réunis se sont unanimement prononcés pour la mobilisation générale, conformément au préavis de l’intersyndicale du 6 mars", annoncent les représentants du personnel.
"Il s’agit là d’une contrevérité délibérée visant à faire croire que la collectivité n’a pas répondu au préavis du 5 mars", répliquent Marinette Torpille et Francis Carole, les deux conseillers exécutifs désignés par le président du conseil exécutif, en charge du personnel.
La Collectivité a convié l’intersyndicale à une réunion le mardi 6 mars à 7h30, selon les conseillers exécutifs. "L’intersyndicale l’a unilatéralement renvoyée à 9h00. À 9h20, la délégation de l’intersyndicale s’est présentée devant la salle et a exigé de définir la composition de la délégation de la Collectivité. Malgré la proposition des élus de la Collectivité, présents dès 7h30, de recevoir l’intersyndicale dans un second temps en présence uniquement des élus, celle-ci a décidé de claquer la porte. Nous rappelons que dans le cadre de la réponse à un préavis de grève, aucun texte réglementaire n’impose un format particulier de la délégation de la Collectivité".
De son côté, l'intersyndicale présente un cahier de revendications qui fait état entre autres, des souffrances du personnel. "Nous dénonçons ensemble et publiquement les nombreuses illégalités, les atteintes aux droits humains, les dysfonctionnements de la collectivité, les souffrances conduisant à des hospitalisations, des burn-out, voire des décès. Contrairement à ce que certains voudraient faire croire, ce mouvement est apolitique. Il traduit un malaise, un mécontentement et une exaspération générale".
Les élus de la collectivité se disent disposés au dialogue social pour discuter de la plateforme déposée le 5 mars par l'intersyndicale.
"Suite à l’absence de réponse de la collectivité à la demande de l’intersyndicale déposée le lundi 5 mars, et à son silence concernant la plateforme de revendications, les personnels réunis se sont unanimement prononcés pour la mobilisation générale, conformément au préavis de l’intersyndicale du 6 mars", annoncent les représentants du personnel.
"Aucun texte réglementaire n’impose un format particulier de la délégation de la Collectivité"
"Il s’agit là d’une contrevérité délibérée visant à faire croire que la collectivité n’a pas répondu au préavis du 5 mars", répliquent Marinette Torpille et Francis Carole, les deux conseillers exécutifs désignés par le président du conseil exécutif, en charge du personnel.
La Collectivité a convié l’intersyndicale à une réunion le mardi 6 mars à 7h30, selon les conseillers exécutifs. "L’intersyndicale l’a unilatéralement renvoyée à 9h00. À 9h20, la délégation de l’intersyndicale s’est présentée devant la salle et a exigé de définir la composition de la délégation de la Collectivité. Malgré la proposition des élus de la Collectivité, présents dès 7h30, de recevoir l’intersyndicale dans un second temps en présence uniquement des élus, celle-ci a décidé de claquer la porte. Nous rappelons que dans le cadre de la réponse à un préavis de grève, aucun texte réglementaire n’impose un format particulier de la délégation de la Collectivité".
"Les souffrances conduisant à des hospitalisations, des burn-out, voire des décès..."
De son côté, l'intersyndicale présente un cahier de revendications qui fait état entre autres, des souffrances du personnel. "Nous dénonçons ensemble et publiquement les nombreuses illégalités, les atteintes aux droits humains, les dysfonctionnements de la collectivité, les souffrances conduisant à des hospitalisations, des burn-out, voire des décès. Contrairement à ce que certains voudraient faire croire, ce mouvement est apolitique. Il traduit un malaise, un mécontentement et une exaspération générale".
Les élus de la collectivité se disent disposés au dialogue social pour discuter de la plateforme déposée le 5 mars par l'intersyndicale.