La situation est calme au Prêcheur depuis plusieurs semaines. Pas de coulées de boues, pas de sirène d'alerte, mais les habitants ne sont pas rassurés pour autant. Ces derniers vivent dans un état de stress permanent depuis le début du phénomène en janvier dernier.
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La peur fait désormais partie du quotidien d'Éléonore et sa voisine Blonde, deux femmes âgées du quartier abymes. Au Prêcheur, depuis le début du phénomène de coulée de boue le 6 janvier dernier, près d’une vingtaine de lahars a été dénombrée, dont huit relativement importants.
En effet, c'est une véritable angoisse pour les 150 personnes directement concernées par ces lahars, au quartier des Abymes, et dans les citées Coquette et Raymond Pohie, au nord du bourg.
Des personnes qui vivent dans la crainte que le système d'alerte ne se déclenche, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Une situation difficile que beaucoup d’habitants vivent mal.
Même si une bonne dose de fatalisme existe face au phénomène, les effets psychologiques sont notables sur certains habitants.
(Re)voir le reportage avec des images de Guilhem Fraissinet.
En effet, c'est une véritable angoisse pour les 150 personnes directement concernées par ces lahars, au quartier des Abymes, et dans les citées Coquette et Raymond Pohie, au nord du bourg.
Des personnes qui vivent dans la crainte que le système d'alerte ne se déclenche, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Une situation difficile que beaucoup d’habitants vivent mal.
Même si une bonne dose de fatalisme existe face au phénomène, les effets psychologiques sont notables sur certains habitants.
(Re)voir le reportage avec des images de Guilhem Fraissinet.