Pour s'opposer à la mutation, de Philippe Aurore, directeur du LEGTA de Croix-Rivail, ses partisans maintiennent des barrages devant l'établissement à Ducos. Le préfet s'engage à mettre en place une médiation mais demande d'abord aux manifestants de lever les barrages.
•
La rentrée ne peut toujours pas s'effectuer au Legta de Croix-Rivail, en raison du blocage des accès par les membres du comité martiniquais de vigilance de l'enseignement agricole, dont le porte-parole est Olivier Berisson, par ailleurs chef des écologistes de l'Assaupamar.
Le préfet propose, les manifestants restent intransigeants
Le préfet Franck Robine demande aux manifestants de lever les barrages bloquant les accès au lycée."Il est important que les professeurs et les élèves puissent reprendre le chemin de l'école et du travail. L'intérêt des enfants doit désormais prévaloir", explique le préfet. Le représentant de l'État s'engage, en cas de levée des barrages, à mettre en place une médiation. "Je me suis entretenu avec le médiateur pressenti. Je souhaite que vous vous associez pleinement à cette démarche", écrit-il à Olivier Berrisson.
"Un arrêté ministériel annulant la mutation de Monsieur Aurore permet la levée immédiate des barrages", répond sèchement Olivier Berisson, le porte-parole du comité martiniquais de vigilance de l'enseignement agricole. "Nous avons posé nos revendications depuis le 21 août vous laissant tout le loisir de résoudre le problème avant la rentrée".La médiation semble bien difficile dans ces conditions. Pendant ce temps, élèves et enseignants pâtissent de cette situation.
Le préfet propose, les manifestants restent intransigeants
Le préfet Franck Robine demande aux manifestants de lever les barrages bloquant les accès au lycée."Il est important que les professeurs et les élèves puissent reprendre le chemin de l'école et du travail. L'intérêt des enfants doit désormais prévaloir", explique le préfet. Le représentant de l'État s'engage, en cas de levée des barrages, à mettre en place une médiation. "Je me suis entretenu avec le médiateur pressenti. Je souhaite que vous vous associez pleinement à cette démarche", écrit-il à Olivier Berrisson.
"Un arrêté ministériel annulant la mutation de Monsieur Aurore permet la levée immédiate des barrages", répond sèchement Olivier Berisson, le porte-parole du comité martiniquais de vigilance de l'enseignement agricole. "Nous avons posé nos revendications depuis le 21 août vous laissant tout le loisir de résoudre le problème avant la rentrée".La médiation semble bien difficile dans ces conditions. Pendant ce temps, élèves et enseignants pâtissent de cette situation.