La ministre des Outre – mer, George PAU-LANGEVIN a participé au cours de son voyage à la commémoration de l’abolition de l’esclavage à Mayotte dont les festivités se déroulent dans le cadre du festival annuel des arts traditionnels.
EMMANUEL TUSEVO
EMMANUEL TUSEVO
La ministre des Outre – mer, George PAU-LANGEVIN a quitté Mayotte samedi en début d’après-midi, au terme d’une visite de 24 heures.
Elle a participé dans la matinée à la commémoration de l’abolition de l’esclavage à Mayotte dont les festivités se déroulent dans le cadre du festival annuel des arts traditionnels.
Elle a rappelé dans son allocution un proverbe africain selon lequel : « Si on ne sait pas où aller, il faut regarder d’ où l’on vient. Par conséquent, il n’y a pas d’identité solide si on ne connaît pas ses racines et son histoire. »
Elle a précisé ensuite que si les mahorais ont choisi la France, c’était en grande partie pour pouvoir échapper à l’esclavage.
« Un des premiers actes significatifs de la France à Mayotte, c’était d’abolir l’esclavage à Mayotte…L’esclavage a été aboli à Mayotte avant même qu’il soit aboli dans les autres DOM, départements d’outre – mer. C’est important et cela démontre que dès le départ, la relation de Mayotte avec la France était fondée sur les valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité. », a déclaré la ministre des Outre-mer.
Elle a invité les élus mahorais à s’inscrire dans cette tradition historique et à continuer à toujours faire valoir l’idée d’égalité, une égalité réelle… en s’adossant justement au passé.
Elle a participé dans la matinée à la commémoration de l’abolition de l’esclavage à Mayotte dont les festivités se déroulent dans le cadre du festival annuel des arts traditionnels.
Elle a rappelé dans son allocution un proverbe africain selon lequel : « Si on ne sait pas où aller, il faut regarder d’ où l’on vient. Par conséquent, il n’y a pas d’identité solide si on ne connaît pas ses racines et son histoire. »
Elle a précisé ensuite que si les mahorais ont choisi la France, c’était en grande partie pour pouvoir échapper à l’esclavage.
« Un des premiers actes significatifs de la France à Mayotte, c’était d’abolir l’esclavage à Mayotte…L’esclavage a été aboli à Mayotte avant même qu’il soit aboli dans les autres DOM, départements d’outre – mer. C’est important et cela démontre que dès le départ, la relation de Mayotte avec la France était fondée sur les valeurs de la République : liberté, égalité, fraternité. », a déclaré la ministre des Outre-mer.
Elle a invité les élus mahorais à s’inscrire dans cette tradition historique et à continuer à toujours faire valoir l’idée d’égalité, une égalité réelle… en s’adossant justement au passé.