Les surveillants de la maison d’arrêt de Majicavo au nord de Mayotte ont poursuivi lundi 5 octobre 2015 leur mouvement de contestation pour réclamer la prime annuelle de 12 000 euros sur la restructuration de la prison où ils travaillent.
Depuis le début de leur mouvement social, les agents de la maison d’arrêt de Majicavo bloquent l’entrée principale avec des troncs d’arbres et des pneus auxquels ils mettent le feu.
Les forces de l’ordre ont dû intervenir à deux reprises pour permettre la relève de personnel.
Le procureur de la République, Joël Garrigue est allé personnellement ce lundi leur rappeler les limites qu’ils ne peuvent pas dépasser en matière d’administration pénitentiaire.
L’Intersyndicale à l’origine de ce mouvement social était composée au départ se 3 syndicats présents à la maison d’arrêt de Majicavo : UFAP , FO et CGT.
L’UFAP (Union Fédérale Autonome Pénitentiaire) s’est retiré du mouvement mais ses adhérents continuent d’y participer.
Thierry Lebas, surveillant et membre du bureau syndical de l’UFAP explique à Emmanuel Tusevo pour le site « Mayotte 1 ère.fr Actualités »la principale revendication au cœur de ce mouvement de contestation :
Thierry Lebas tient à préciser qu’il ne s’agit pas d’une grève mais d’un mouvement social de contestation. Les agents pénitentiaires et les surveillants comme les policiers n’ont pas le droit de faire grève :
Plusieurs négociations par visioconférence avec le directeur inter régional des administrations pénitentiaires de l’outremer sont restées infructueuses :
Une rencontre des agents contestataires avec le préfet Seymour Morsy est prévue pour jeudi prochain.
EMMANUEL TUSEVO
SUR LE MÊME SUJET :
La prison de Majicavo en chantier d' agrandissement :
http://lejournaldemayotte.com/societe/la-prison-du-21eme-siecle/
Les forces de l’ordre ont dû intervenir à deux reprises pour permettre la relève de personnel.
Le procureur de la République, Joël Garrigue est allé personnellement ce lundi leur rappeler les limites qu’ils ne peuvent pas dépasser en matière d’administration pénitentiaire.
L’Intersyndicale à l’origine de ce mouvement social était composée au départ se 3 syndicats présents à la maison d’arrêt de Majicavo : UFAP , FO et CGT.
L’UFAP (Union Fédérale Autonome Pénitentiaire) s’est retiré du mouvement mais ses adhérents continuent d’y participer.
Thierry Lebas, surveillant et membre du bureau syndical de l’UFAP explique à Emmanuel Tusevo pour le site « Mayotte 1 ère.fr Actualités »la principale revendication au cœur de ce mouvement de contestation :
greve
Thierry Lebas tient à préciser qu’il ne s’agit pas d’une grève mais d’un mouvement social de contestation. Les agents pénitentiaires et les surveillants comme les policiers n’ont pas le droit de faire grève :
greve
Plusieurs négociations par visioconférence avec le directeur inter régional des administrations pénitentiaires de l’outremer sont restées infructueuses :
greve
greve
EMMANUEL TUSEVO
SUR LE MÊME SUJET :
La prison de Majicavo en chantier d' agrandissement :
http://www.zinfos974.com/Mayotte-La-prison-de-Majicavo-en-chantier-d-grandissement_a67274.html
Majicavo : La prison du 21 ème siècle :http://lejournaldemayotte.com/societe/la-prison-du-21eme-siecle/