La question n’est pas anodine, le 1er octobre est la journée internationale des personnes âgées. Le quotidien des seniors à Mayotte est difficile, ce n’est un secret pour personne.
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Pour ceux qui ont travaillé, les pensions de retraites ne suffisent pas à garder un niveau de vie digne. Il y a aussi un vrai risque d’isolement.
Une situation encore plus problématique quand la personne en question âgée est une femme. Mais beaucoup ne baissent pas les bras pour autant et font preuve de d’imagination et de persévérance pour ne pas tomber dans une totale dépendance. C’est le cas de Soifia Ridjali alias Ma Djédjé. C’est une figure du village de Nyambadao dans la commune de Bandrélé, au sud de Mayotte.
Elle perpétue la tradition de fabricante d’amulettes de protection. Ce n’est pas avec les quelques centimes qu’elle se fait remettre par ces clients que Ma Djédjé survit, mais elle en est fière. La relève n’est pas assurée, Soifia Ridjali en est conscience et pourtant l’on vient de toute l’île pour ses amulettes.
Une situation encore plus problématique quand la personne en question âgée est une femme. Mais beaucoup ne baissent pas les bras pour autant et font preuve de d’imagination et de persévérance pour ne pas tomber dans une totale dépendance. C’est le cas de Soifia Ridjali alias Ma Djédjé. C’est une figure du village de Nyambadao dans la commune de Bandrélé, au sud de Mayotte.
Elle perpétue la tradition de fabricante d’amulettes de protection. Ce n’est pas avec les quelques centimes qu’elle se fait remettre par ces clients que Ma Djédjé survit, mais elle en est fière. La relève n’est pas assurée, Soifia Ridjali en est conscience et pourtant l’on vient de toute l’île pour ses amulettes.