Les élèves mettent en cause l’organisation de Trans’dev, la société de transport scolaire, et réclament un acheminement sans escale jusque dans leur village.
Difficile d’accéder au portail de l’établissement, même pour les enseignants obligés de patienter à l’extérieur avec une partie des élèves. Ils expriment leur mécontentement, ce jeudi matin suite au caillassage dont ils ont été victimes la veille, le mercredi 24 novembre.
Depuis le début de l’année, le rythme est infernal, ils arrivent tôt dans l’établissement et à la sortie faute de place dans les bus, ils doivent patienter seuls, parfois même en début de soirée. Selon eux, l’attaque était prévisible. Le proviseur de la cité scolaire de Bandrélé, dit comprendre la revendication des élèves.