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Le combat pour la certification de la brique mahoraise est mené depuis quelques années par l’association Art-Terre, convaincue que la brique représente l’identité architecturale de Mayotte. Cette reconnaissance va donc permettre de relancer une filière en sommeil et surtout montrer un savoir-faire mahorais. Mistoihi Mari, le président de l’association Art-Terre.
« Il faut reconnaître qu’avant, il n’y avait pas de certification. Aujourd'hui, ça permet aux maîtres d’ouvrage, aux entreprises et aux particuliers qui veulent construire en BTC, brique de terre compressée, de construire sereinement et d’avoir toutes les garanties par rapport à leurs constructions. Nous avons 3 ans pour démontrer que la BTC à Mayotte a fait ses preuves et fera encore ses preuves. »
3 ans pour fabriquer des bâtiments en BTC. Une phase teste qui aboutira à la certification définitive et qui permettra de relancer la production. Actuellement la SIM, société immobilière de Mayotte, produit à elle seule plus d’un million de briques en terre par an. L’objectif de l’association est que les 3 unités de production existantes puissent en produire 5 millions par an. Le potentiel est économique est donc bien réel.
« Ce qui est intéressant pour nous, c’est de voir que des institutions comme le vice-rectorat désormais, préconisent dans ses constructions l’utilisation de la brique de terre comprimée, donc, c’est une bonne chose. »
L’association compte donc sensibiliser dans ce sens tous les maîtres d’ouvrage ainsi que les sociétés privées des perspectives économiques à mayotte et même au-delà de Mayotte. Des multinationales seraient intéressées par le produit.
Cette certification permet de redonner à la brique mahoraise ses lettres de noblesse, un produit aux avantages économiques, esthétiques et écologiques certains.
« Il faut reconnaître qu’avant, il n’y avait pas de certification. Aujourd'hui, ça permet aux maîtres d’ouvrage, aux entreprises et aux particuliers qui veulent construire en BTC, brique de terre compressée, de construire sereinement et d’avoir toutes les garanties par rapport à leurs constructions. Nous avons 3 ans pour démontrer que la BTC à Mayotte a fait ses preuves et fera encore ses preuves. »
3 ans pour fabriquer des bâtiments en BTC. Une phase teste qui aboutira à la certification définitive et qui permettra de relancer la production. Actuellement la SIM, société immobilière de Mayotte, produit à elle seule plus d’un million de briques en terre par an. L’objectif de l’association est que les 3 unités de production existantes puissent en produire 5 millions par an. Le potentiel est économique est donc bien réel.
« Ce qui est intéressant pour nous, c’est de voir que des institutions comme le vice-rectorat désormais, préconisent dans ses constructions l’utilisation de la brique de terre comprimée, donc, c’est une bonne chose. »
L’association compte donc sensibiliser dans ce sens tous les maîtres d’ouvrage ainsi que les sociétés privées des perspectives économiques à mayotte et même au-delà de Mayotte. Des multinationales seraient intéressées par le produit.
Cette certification permet de redonner à la brique mahoraise ses lettres de noblesse, un produit aux avantages économiques, esthétiques et écologiques certains.
Certification de la brique en terre compressée de Mayotte