Pas de traces de violences sur le corps. C'est ce qu'indiquent les résultats de l’autopsie effectuée sur le corps de la mangrove de Mgombani. Pour le client de l’hôtel Maharajah, il s’agit bien d’une mort naturelle.
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Il faudra attendre de nouveaux examens pour avoir une réponse définitive sur les causes de décès de la jeune femme retrouvée vendredi dans la mangrove.
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Une autopsie a été réalisée ce mardi. Le procureur de la république informe qu'il n'y a pas d'élément constaté sur le cadavre qui permet de constater des faits de violences ou d'intervention d'un tiers. Mais selon lui, "l'état du corps est tel que des investigations complémentaires devront se poursuivre."
Mort naturelle pour le second décès
Samedi dernier, c'est le corps sans vie d'un homme d'une cinquantaine d'années qui était découvert dans une chambre d’hôtel à Mamoudzou.
L'autopsie effectuée à la demande de la famille a confirmé qu'il s'agit bien d'une mort naturelle.
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