Climat : L’appel des petites nations insulaires

conférence mondiale des petits Etats insulaires
Les présidents des Seychelles et des Maldives se font les porte-voix des îles menacées par le changement climatique. Tous deux participent à une conférence internationale des petits Etats insulaires

Wavel Ramkalawan, président des Seychelles et Mohamed Muizzu des Maldives sont présents à la conférence mondiale des petits Etats insulaires qui se tient cette année à Antigua et Barbuda aux Antilles. Tous deux portent le même message d’alerte sur la montée des océans, la mort lente des récifs coralliens, l’intensité croissante des cyclones.

En ouverture, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterrez a appelé les pays du G20 à baisser leurs émissions de gaz à effet de serre. On entend les mêmes arguments que lors de la dernière conférence il y a dix ans.

L’organisation des petits Etats insulaires comprend les Comores, Maurice, Seychelles, Maldives mais pas la Réunion ni Mayotte, alors que la Martinique, la Guadeloupe et la Polynésie française y sont représentées en tant que membres associés.