Les petits commerces alimentaires qui se sont développés près des établissements scolaires ont fermé depuis le confinement sanitaire, faute de clients.
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C’est une petite économie alimentaire du secteur informel qui s’était développée aux abords des établissements scolaires.
Des vendeuses proposaient des gâteaux, sandwiches et crêpe, fabriqués à la maison et des sodas aux élèves aux heures de pause. Près de certains lycées et collèges, ces points de restauration rapide travaillaient quasi exclusivement pour les étudiants et parfois leurs professeurs.
Tout ce petit commerce tourne au ralenti ou a disparu avec la fermeture des établissements scolaires à cause du Covid-19.
Le phénomène est constaté en Petite Terre, à Kahani ou encore Chirongui.
Si les propriétaires des points de vente officiels peuvent prétendre à l’aide promise par les autorités, la grande partie des petits vendeurs informels vont se retrouver sur le carreau.
Leur situation est étroitement liée à la réouverture ou non des établissements scolaires. Pour le moment aucune date n’est fixée et le ramadan est prévu pour le 24 avril prochain.
Des vendeuses proposaient des gâteaux, sandwiches et crêpe, fabriqués à la maison et des sodas aux élèves aux heures de pause. Près de certains lycées et collèges, ces points de restauration rapide travaillaient quasi exclusivement pour les étudiants et parfois leurs professeurs.
Tout ce petit commerce tourne au ralenti ou a disparu avec la fermeture des établissements scolaires à cause du Covid-19.
Le phénomène est constaté en Petite Terre, à Kahani ou encore Chirongui.
Si les propriétaires des points de vente officiels peuvent prétendre à l’aide promise par les autorités, la grande partie des petits vendeurs informels vont se retrouver sur le carreau.
Leur situation est étroitement liée à la réouverture ou non des établissements scolaires. Pour le moment aucune date n’est fixée et le ramadan est prévu pour le 24 avril prochain.