Enfin le pays a pris la mesure des enjeux écologiques. Il existe désormais un ministère d’Etat de La Transition Ecologique et de la Solidarité. Dans l'ordre protocolaire gouvernemental il occupe le rang de numéro deux.
Une consécration pour un domaine qui revenait à des Robinson Crusoé ou à de grandes gueules sans budget, notoirement ignorés par leurs collègues et les grands pollueurs.
Durant ses 15 dernières années, l’Ecologie est passée de sacerdoce à Grande cause nationale pour devenir une nécessité vitale.
Et l’arrivée d’une star de l’audiovisuel, une des personnalités préférées des français est un signal fort.
Et l’intitulé, ministère d’Etat de La Transition Ecologiste et de la Solidarité suffit à bien apprécier les espoirs que portent Nicolas HULOT. Monsieur Hulot n’aura pas de vacances.
Car, il s’agit, de mettre en place « un ensemble de principes et de pratiques formées à partir des expérimentations et des observations d'individus, de groupes, de villages, villes ou communes, lorsqu’ils ont commencé à travailler sur les problématiques de résilience locale, d'économie en boucle et de réduction des émissions de CO2. »
Et cette notion de résilience a longtemps été le fondement du fonctionnement de la société mahoraise.
La été organisée autour de la communauté villageoise : la santé, l’éducation, l’économie du partage, la solidarité, la religion et même le ramassage des déchets.
Pourquoi un tel fonctionnement ne serait pas possible aujourd’hui. L’éducation « à la Française » n’est-elle pas compatible ?
Cette même tendance quasi inhérente à la société mahoraise, on la retrouve dans la vie associative. Il en existe des centaines dans tous les villages et les quartiers de l’île.
Quand la problématique du ramassage des déchets et de la protection de l’environnement est apparue dans les années 90, chaque village a eu son association de protection de l’environnement. Des bénévoles qui montent de grandes opérations de nettoyage et protection de la nature. Une ressource inépuisable pour l’économie sociale et solidaire, l’autre pendant du ministre Nicolas Hulot.
Enfin, les mahorais devront être réconciliés à la notion d’écologie et de protection de l’environnement.
Le message est bien passé. Le tourisme vert est un secteur à développer à Mayotte. La nature y est belle est généreuse. La faune et la flore sont optionnelles.
Mais combien d’agents sont déployés par les brigades nautiques, les brigades de la nature ?
Quelles associations bénéficient des subventions du département, de l’Etat ou de l’Europe ?
Enfin, que dire aux habitants de cette île quand la seule action réussie par une association de protection est d’avoir pu empêcher le prolongement de la piste d’atterrissage de Pamandzi ?
Mayotte et tout l’outremer attendent beaucoup de Nicolas Hulot.
Durant ses 15 dernières années, l’Ecologie est passée de sacerdoce à Grande cause nationale pour devenir une nécessité vitale.
Et l’arrivée d’une star de l’audiovisuel, une des personnalités préférées des français est un signal fort.
Et l’intitulé, ministère d’Etat de La Transition Ecologiste et de la Solidarité suffit à bien apprécier les espoirs que portent Nicolas HULOT. Monsieur Hulot n’aura pas de vacances.
Car, il s’agit, de mettre en place « un ensemble de principes et de pratiques formées à partir des expérimentations et des observations d'individus, de groupes, de villages, villes ou communes, lorsqu’ils ont commencé à travailler sur les problématiques de résilience locale, d'économie en boucle et de réduction des émissions de CO2. »
Et cette notion de résilience a longtemps été le fondement du fonctionnement de la société mahoraise.
La été organisée autour de la communauté villageoise : la santé, l’éducation, l’économie du partage, la solidarité, la religion et même le ramassage des déchets.
Pourquoi un tel fonctionnement ne serait pas possible aujourd’hui. L’éducation « à la Française » n’est-elle pas compatible ?
Cette même tendance quasi inhérente à la société mahoraise, on la retrouve dans la vie associative. Il en existe des centaines dans tous les villages et les quartiers de l’île.
Quand la problématique du ramassage des déchets et de la protection de l’environnement est apparue dans les années 90, chaque village a eu son association de protection de l’environnement. Des bénévoles qui montent de grandes opérations de nettoyage et protection de la nature. Une ressource inépuisable pour l’économie sociale et solidaire, l’autre pendant du ministre Nicolas Hulot.
Enfin, les mahorais devront être réconciliés à la notion d’écologie et de protection de l’environnement.
Le message est bien passé. Le tourisme vert est un secteur à développer à Mayotte. La nature y est belle est généreuse. La faune et la flore sont optionnelles.
Mais combien d’agents sont déployés par les brigades nautiques, les brigades de la nature ?
Quelles associations bénéficient des subventions du département, de l’Etat ou de l’Europe ?
Enfin, que dire aux habitants de cette île quand la seule action réussie par une association de protection est d’avoir pu empêcher le prolongement de la piste d’atterrissage de Pamandzi ?
Mayotte et tout l’outremer attendent beaucoup de Nicolas Hulot.