« Nous travaillons pour que de plus en plus de jeunes joueurs puissent continuer à progresser » explique Guillaume Brouste. Il se félicite que « le travail des clubs commence à payer »… « alors qu’il y a une baisse du nombre de licenciés un peu partout en France, à Mayotte leur nombre a augmenté de plus de 25%. Il n’y a que deux endroits en France où cela monte : Mayotte et Paris ». « Chaque année nous avons un effectif de plus en plus riche, cela nous rend la tâche difficile et c’est ce qui est intéressant »
Et désormais les meilleurs se retrouveront au « centre d’excellence » de Cavani pour deux années de formation. « Nous allons les présenter à des centres de formation de clubs en métropole, des clubs de ligue 2 » explique Guillaume Brouste.
Du côté des filles, le processus est en retard : « il y a eu une découverte tardive du football féminin, le niveau est encore insuffisant. Il faut qu’elles commencent dès leur plus jeune âge ».