C'est l'essentiel du faux vrai document qui a circulé et présenté comme étant la feuille de route.
Et donc un grand élu mahorais était au courant, mais a choisi de garder le silence sur un sujet aussi sensible à Mayotte et dans toute la région océan indien.
Un autre a vite réagi et demandé une rencontre avec le gouvernement et enfin un troisième est parti aux nouvelles au ministère des affaires étrangères.
Le comité Mayotte département s'est emparé du dossier à Paris et fait des propositions.
La feuille de route, à l'authenticité plus que douteuse, a quand même permis de mettre en lumière certains dysfonctionnements dans la conduite des dossiers qui concernent l’autre île française de l’océan indien.
Pourquoi avoir gardé le silence sur cette rencontre Franco-comorienne au moment où toutes les institutions tirent la sonnette d'alarme sur le poids de l'apport des étrangers dans l'évolution démographique ?
Mais le problème est, surtout le fait qu’aucun élu mahorais n’ait pas été invité à la table des négociations. Pas de député, pas de sénateur encore moins le président de la collectivité ni le président de l’association des maires n’a participé à la rencontre bilatérale France-Comores.
La gratuité et la facilité d’obtenir le sésame pour entrer sur le territoire français de Mayotte impactera le département. Les raisons de cet allégement des contraintes sont louables, mais les conséquences sont prévisibles et lourdes à supporter pour la collectivité.
Car, les élus du département et la population sont devant un fait accompli, le fait du prince :
« …la France et les Comores ont décidé de travailler à une circulation régulée et plus sécurisée des personnes entre Mayotte et les Comores. Cela témoigne d’une volonté nouvelle de coopération. »
Une nouvelle approche est entrain d’être mise en place par la France dans les relations avec l’Union des Comores. Les cris des mahorais se sont dilués dans le pétrole que regorgerait le sous-sol maritime situé entre l’île au lagon et l’Union des Comores.
Le pragmatisme économique aurait pris le pas sur le romantisme et les considérations patriotiques qui ont prévalu jusqu’aux dernières élections françaises. La France, plus cartésienne que jamais aurait donc sortie sa calculatrice.
À moins qu’un autre ministre ne vienne se mêler de cette affaire, celui de l’écologie, Nicolas Hulot, est faire valoir que cette nouvelle politique aurait, in fine, un bilan carbone négatif pour l’environnement.
Les grands élus du département seront donc reçus pour être mis au courant de ce qui va se passer chez eux. Un grand congrès est en cours de programmation pour décider de la suite à donner au niveau de la population de Mayotte.
Un appel à la mobilisation pour lundi 25 septembre prochain.
Un autre a vite réagi et demandé une rencontre avec le gouvernement et enfin un troisième est parti aux nouvelles au ministère des affaires étrangères.
Le comité Mayotte département s'est emparé du dossier à Paris et fait des propositions.
La feuille de route, à l'authenticité plus que douteuse, a quand même permis de mettre en lumière certains dysfonctionnements dans la conduite des dossiers qui concernent l’autre île française de l’océan indien.
Pourquoi avoir gardé le silence sur cette rencontre Franco-comorienne au moment où toutes les institutions tirent la sonnette d'alarme sur le poids de l'apport des étrangers dans l'évolution démographique ?
Mais le problème est, surtout le fait qu’aucun élu mahorais n’ait pas été invité à la table des négociations. Pas de député, pas de sénateur encore moins le président de la collectivité ni le président de l’association des maires n’a participé à la rencontre bilatérale France-Comores.
La gratuité et la facilité d’obtenir le sésame pour entrer sur le territoire français de Mayotte impactera le département. Les raisons de cet allégement des contraintes sont louables, mais les conséquences sont prévisibles et lourdes à supporter pour la collectivité.
Car, les élus du département et la population sont devant un fait accompli, le fait du prince :
« …la France et les Comores ont décidé de travailler à une circulation régulée et plus sécurisée des personnes entre Mayotte et les Comores. Cela témoigne d’une volonté nouvelle de coopération. »
Une nouvelle approche est entrain d’être mise en place par la France dans les relations avec l’Union des Comores. Les cris des mahorais se sont dilués dans le pétrole que regorgerait le sous-sol maritime situé entre l’île au lagon et l’Union des Comores.
Le pragmatisme économique aurait pris le pas sur le romantisme et les considérations patriotiques qui ont prévalu jusqu’aux dernières élections françaises. La France, plus cartésienne que jamais aurait donc sortie sa calculatrice.
À moins qu’un autre ministre ne vienne se mêler de cette affaire, celui de l’écologie, Nicolas Hulot, est faire valoir que cette nouvelle politique aurait, in fine, un bilan carbone négatif pour l’environnement.
Les grands élus du département seront donc reçus pour être mis au courant de ce qui va se passer chez eux. Un grand congrès est en cours de programmation pour décider de la suite à donner au niveau de la population de Mayotte.
Un appel à la mobilisation pour lundi 25 septembre prochain.