Les deux pêcheurs portés disparus dimanche soir sont rentrés ce mardi matin.
Les deux pêcheurs portés disparus dimanche dernier sont rentrés seins et saufs.
L’alerte avait été lancée dimanche dernier vers 20 heures 45, soit 24 heures après leur départ en mer. Les services maritimes de Mayotte avaient commencé les recherches d’abord aux alentours de la Petite-Terre avec un navire muni de jumelles nocturnes et un hélicoptère.
Lundi, des calculs de dérive ont été effectués pour calculer les zones de recherche à partir de leur dernière position connue. Là aussi, sans succès.
Une réquisition téléphone a été alors demandée par les services compétents à La Réunion pour avoir le dernier relais téléphonique et les avions qui survolaient la région ont été alertés
A leur retour donc ce matin, ils ont expliqué au président de l’association des pêcheurs de Petite-Terre qu’ils étaient tombés en panne. « Le carburateur avait lâché, noyé dans l’eau de mer ». Il paraît que c’est une panne relativement courante. Le moteur a fini par redémarrer et ils sont rentrés.
Il se pose quand même la question de la sécurité de ces petits pêcheurs. Comment se fait-il qu’ils n’ont jamais pu donner leur position à l’aide fusée de détresse. Quels sont les moyens de communication dont ils disposaient.
L’organisation de secours en mer coûte cher et régulièrement le débat sur leur financement revient sur le devant de la scène.
L’alerte avait été lancée dimanche dernier vers 20 heures 45, soit 24 heures après leur départ en mer. Les services maritimes de Mayotte avaient commencé les recherches d’abord aux alentours de la Petite-Terre avec un navire muni de jumelles nocturnes et un hélicoptère.
Lundi, des calculs de dérive ont été effectués pour calculer les zones de recherche à partir de leur dernière position connue. Là aussi, sans succès.
Une réquisition téléphone a été alors demandée par les services compétents à La Réunion pour avoir le dernier relais téléphonique et les avions qui survolaient la région ont été alertés
A leur retour donc ce matin, ils ont expliqué au président de l’association des pêcheurs de Petite-Terre qu’ils étaient tombés en panne. « Le carburateur avait lâché, noyé dans l’eau de mer ». Il paraît que c’est une panne relativement courante. Le moteur a fini par redémarrer et ils sont rentrés.
Il se pose quand même la question de la sécurité de ces petits pêcheurs. Comment se fait-il qu’ils n’ont jamais pu donner leur position à l’aide fusée de détresse. Quels sont les moyens de communication dont ils disposaient.
L’organisation de secours en mer coûte cher et régulièrement le débat sur leur financement revient sur le devant de la scène.