Ali Mohamed, ancien garde nature et président de l’association « sécurité villageoise » de Mtsamudu était l’invité de Zakweli ce mercredi.
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Il évoque l’initiative du préfet de réunir toutes les associations et le Conseil Départemental pour lutter contre le massacre des tortues marines : « ce n’est pas la première fois qu’on se réunit pour parler du braconnage, on en parle, on en parle … et après c’est zéro ! » lance-t-il.
L’ancien garde nature du Conseil Départemental a été violemment agressé par des braconniers alors qu’il était en service, il déplore que personne ne lui soit venu en aide. Il anime maintenant une association villageoise mais il se plaint de l’absence de subventions : « nous n’avons pas reçu un centime d’euro, rien ! Ni du Conseil Départemental, ni de la préfecture.
Heureusement que le maire de Bandrélé nous aide un peu, mais 3000 € ce n’est pas suffisant ». Selon lui la lutte contre le braconnage implique d’investir dans du matériel comme des jumelles à visée nocturne.
Il faut surtout plus d’effectifs : « nous ne pouvons pas surveiller toutes les plages de Mayotte ». Ali Mohamed dit qu’il est urgent d’agir « sinon dans cinq ans, il n’y aura plus de tortues ».
L’ancien garde nature du Conseil Départemental a été violemment agressé par des braconniers alors qu’il était en service, il déplore que personne ne lui soit venu en aide. Il anime maintenant une association villageoise mais il se plaint de l’absence de subventions : « nous n’avons pas reçu un centime d’euro, rien ! Ni du Conseil Départemental, ni de la préfecture.
Heureusement que le maire de Bandrélé nous aide un peu, mais 3000 € ce n’est pas suffisant ». Selon lui la lutte contre le braconnage implique d’investir dans du matériel comme des jumelles à visée nocturne.
Il faut surtout plus d’effectifs : « nous ne pouvons pas surveiller toutes les plages de Mayotte ». Ali Mohamed dit qu’il est urgent d’agir « sinon dans cinq ans, il n’y aura plus de tortues ».