Dans un communiqué, le collectif des forces vives annonce que "suite à la tentative du Préfet d’ouvrir les barrages samedi 27 janvier, nous avons observé un regain de la violence habituelle qui sévit sur nos routes. Les délinquants en ont profité pour créer leurs propres barrages et racketter la population."
Pour rappel, les barrages tenus par les forces vives sont les suivants :
- Barrage de Chiconi
- Barrage de Tsararano
- Barrages de Combani,Tsingoni, Mirereni
- Barrage du Carrefour Ngwezi
- Barrages de Dzoumogne,Bandraboua
- Barrage de Mtsangamouji-Milou
- Barrage de Coconi
- Barrage de Passamainty
- Barrage de Bandrélé
- Barrages de Kangani, Mtsahara
- Barrage de Chirongui
- Barrage de Koungou
Le collectif des forces vives en profitent également pour remettre en cause "l'émergence d'individus employant des méthodes douteuses au sein de nos barrages, sont soupçonnées d'être mandatées pour nuire à notre cause. Ces individus ne se contentent pas de perturber nos actions, mais s'attaquent également aux biens des personnes qui soutiennent notre mouvement. Ces actes malveillants visent à nous intimider et à saper notre résistance".