Un projet de plusieurs années mais qui jusqu’à présent n’a pas trouvé d’écho favorable auprès des autorités. Pourtant les initiateurs restent persuadés que la solution à ce fléau passe par l’inclusion des réseaux de proximité dans la lutte contre la délinquance.
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L’occasion leur est donc offerte ce mardi 14 juillet de transmettre ledit projet au président de la république. Youssouf Thany, médiateur pédagogique à la retraire aura cette lourde tâche :
Une situation qui selon les initiateurs du projet découle du fait que ces jeunes pour beaucoup « n’ont pas fréquenté l’école coranique, voire très peu pour certains ». Il faut donc avoir aussi recours à ces lieux d’apprentissage du Coran pour inculquer des valeurs aux jeunes. Aussi, les cadis, les associations villageoises peuvent et doivent intégrer ce projet selon Hakim Nourdine, l’un des initiateurs du projet. Pour lui,
En effet, selon eux, ce projet permettra de souder « les différentes souches de notre société et de travailler en commun avec le tissus social, le milieu associatif, et ainsi appuyer les cadis dans leur travail en partenariat avec les autorités. Le but reste de trouver une solution dans la lutte contre la délinquance quitte donc à passer par ces réseaux de proximité ». Le document sera en tout cas entre les mains des collaborateurs du président Emmanuel Macron ce mardi.
« nous pensons que les jeunes d'aujourd'hui ont perdu leurs valeurs identitaires, ils n'ont plus le respect des anciens, ils n'ont plus le respect de leurs prochains, ils n'ont plus les valeurs inculquées par nos anciens ».
Une situation qui selon les initiateurs du projet découle du fait que ces jeunes pour beaucoup « n’ont pas fréquenté l’école coranique, voire très peu pour certains ». Il faut donc avoir aussi recours à ces lieux d’apprentissage du Coran pour inculquer des valeurs aux jeunes. Aussi, les cadis, les associations villageoises peuvent et doivent intégrer ce projet selon Hakim Nourdine, l’un des initiateurs du projet. Pour lui,
"face à une augmentation très importante de de la délinquance juvénile à Mayotte, remettre le projet à l’équipe de l'Élysée est une opportunité qui peut servir les intérêts de Mayotte, et permettre de rebondir et de relancer les réflexions sur ce travail qui est très important pour l’île".
En effet, selon eux, ce projet permettra de souder « les différentes souches de notre société et de travailler en commun avec le tissus social, le milieu associatif, et ainsi appuyer les cadis dans leur travail en partenariat avec les autorités. Le but reste de trouver une solution dans la lutte contre la délinquance quitte donc à passer par ces réseaux de proximité ». Le document sera en tout cas entre les mains des collaborateurs du président Emmanuel Macron ce mardi.