Il y a d’abord l’histoire de cet homme poursuivi pour avoir donné un coup de couteau à sa femme lors d’une dispute dans le salon de leur appartement. Il l’a blessée, sans gravité heureusement. Les voisins sont témoins, ils ont entendu des cris. Devant les policiers l’homme a avoué son geste.
Mais lors du procès se produit un coup de théâtre : la femme retire sa plainte. Elle dit qu’elle s’est endormie en découpant des légumes dans le salon, et qu’elle s’est blessée toute seule avec le couteau ! Le récit est invraisemblable, à l’évidence sous pression, mais ça passe. L’homme est acquitté.
La deuxième affaire concerne le viol d’une femme originaire du Kenya à bord d’un bateau de tourisme. La victime porte plainte. Trois hommes sont inculpés, parmi eux figure le mari d’une députée. Tous les trois ont été relaxés faute de preuves.
/outremer/2024/07/26/a8dc8d47-807c-437d-9f26-46742df3b7b9-66a392e8bec19186530534.jpeg)
/outremer/2022/10/28/635b7e66d9110_glb-408-urgences-chm-id14260-800x533.jpg)
/outremer/2024/07/25/glb-327-ponton-de-mamoudzou-id14156-800x533-66a27d0f1dab2721179349.jpg)
