Entre la sortie du prédécesseur Mohamed Solih et l’entrée du successeur Mohamed Muizzu, chaque camp a essayé de placer ses pions jusqu’à la dernière minute. L’ex-majorité a réussi à évincer le président de l’Assemblée nationale considéré comme un traître à son camp.
Lequel président a tenté de faire bloquer le budget préparé par le ministre des Finances. Il y aura de nouvelles élections législatives en janvier 2024.
Des chefs de la police ont été promus in extremis hier, avant que ce ne soit plus possible.
Le nouveau président Mohamed Muizzu promet de mettre fin à ces pratiques et annonce qu’il placera son mandat sous le signe de la transparence et de la liberté d’expression.
Mohamed Muizzu prêtera serment demain lors d’une grande cérémonie officielle sur la place centrale de Malé, la capitale.