Le ministère public a demandé la relaxe pour la commune.
Pour le maire Mohamed Majani qui avait échappé à l’inéligibilité lors du premier procès, il demande 5 ans de cette peine.
Pour les autres prévenus, il propose une confirmation des réquisitions de première instance.
Sauf pour l’un d’eux qui avait été relaxé et qui risque en appel 4 mois d’inéligibilité et 4000 euros d’amende.
Les avocats des prévenus ont tous demandé la relaxe pour leur client.
« Nous sommes en « absurdie» a résumé l’un des avocats dénonçant une accusation de « favoritisme » qui pour eux n’est pas fondée.
Décision renvoyée au 4 juillet.