Thabo Bester, emprisonné en Afrique du Sud pour viol et pour meurtre avait monté un terrible scénario pour s’enfuir. Il avait fait croire à un suicide par le feu dans sa prison.
Il y a près d’un an, en mai 2022, les autorités avaient retrouvé dans sa cellule les restes d’un corps calciné au point qu’il était impossible à identifier. Ce n’est qu’après des analyses ADN que la police a compris que ce mort n’était pas lui. On n’a d’ailleurs jamais identifié la véritable victime.
Entre-temps Thabo Bester avait pris la fuite avec la complicité évidente de ses gardiens. Sa cavale s’est terminée vendredi soir à Dar es Salaam en Tanzanie. Une arrestation aussitôt suivie d’une extradition. On l’appelait « le violeur de Facebook », car il attirait ses victimes via le réseau social.
/outremer/2024/10/04/whatsapp-image-2024-10-04-at-04-53-31-66ff5059d7d60674035511.jpeg)
/outremer/2024/12/17/000-36qg8m8-67617cd7ce13e265511709.jpg)
/outremer/2024/12/17/cbyp2071-frame-37-6761928c93a46122424067.png)
