Le nombre pléthorique de candidats reste un sujet de conversation sur le département : 17 dans la première circonscription et 15 dans la seconde.
Au début, deux explications étaient avancées.
La multiplication des partis politiques. Et toutes ces formations ont présenté des candidats. Des raisons valables.
Mais un autre facteur est de plus en plus évoqué ouvertement : Là où naguère on parlait de candidat dissident, une « nouvelle » pratique a fait son apparition. Des adhérents d'un parti qui ne sont pas d'accord avec la candidate ou le candidat qui a été investi officiellement, se portent candidat sans étiquette. Une façon de contester ; soit les personnes choisies ; soit la méthode de désignation mise en œuvre pour les choisir. Et pourtant, ces formations politiques ont organisé des primaires.
Les conséquences de ces « frondes » qui ne disent pas leur nom sont nombreuses :
Il s'agit d'empêcher les représentants « légitimes » du parti d'aller au second tour. Car, les voix éparpillées ont tendance à revenir vers la femme ou l'homme désigné par le parti quand celle-ci ou celui-ci arrive quand même à franchir la première barrière. Un réflexe que les leaders des frondes ont du mal à contenir. Tout se joue donc au premier tour. C'est ce qui a été constaté sous d'autres cieux.
Les programmes passent au second plan. Les batailles de personnes et de courants au sein d’un même parti prennent le pas sur tout le reste.
Les électeurs sont appelés à participer à des querelles internes aux partis.
Pendant la campagne pour la présidentielle, Mayotte a eu droit aux tiraillements entre les comités de soutien à Emmanuel Macron. Pour les législatives, les électeurs assistent au spectacle qui consiste à faire perdre le candidat de son propre parti.
Il y a sans nul doute une logique, des raisons sérieuses à ces divergences dans les familles politiques mahoraises. C’est surtout l’incapacité des responsables à trouver des solutions qui trouble les électeurs.
La multiplication des partis politiques. Et toutes ces formations ont présenté des candidats. Des raisons valables.
Mais un autre facteur est de plus en plus évoqué ouvertement : Là où naguère on parlait de candidat dissident, une « nouvelle » pratique a fait son apparition. Des adhérents d'un parti qui ne sont pas d'accord avec la candidate ou le candidat qui a été investi officiellement, se portent candidat sans étiquette. Une façon de contester ; soit les personnes choisies ; soit la méthode de désignation mise en œuvre pour les choisir. Et pourtant, ces formations politiques ont organisé des primaires.
Les conséquences de ces « frondes » qui ne disent pas leur nom sont nombreuses :
- Les sympathisants et les militants de base se perdent.
- Les voix s'éparpillent entre tous les candidats du même parti.
- Enfin, ceux qui ont été investis voient leur chance de passer l'obstacle du premier tour s'amenuiser.
Il s'agit d'empêcher les représentants « légitimes » du parti d'aller au second tour. Car, les voix éparpillées ont tendance à revenir vers la femme ou l'homme désigné par le parti quand celle-ci ou celui-ci arrive quand même à franchir la première barrière. Un réflexe que les leaders des frondes ont du mal à contenir. Tout se joue donc au premier tour. C'est ce qui a été constaté sous d'autres cieux.
Les programmes passent au second plan. Les batailles de personnes et de courants au sein d’un même parti prennent le pas sur tout le reste.
Les électeurs sont appelés à participer à des querelles internes aux partis.
Pendant la campagne pour la présidentielle, Mayotte a eu droit aux tiraillements entre les comités de soutien à Emmanuel Macron. Pour les législatives, les électeurs assistent au spectacle qui consiste à faire perdre le candidat de son propre parti.
Il y a sans nul doute une logique, des raisons sérieuses à ces divergences dans les familles politiques mahoraises. C’est surtout l’incapacité des responsables à trouver des solutions qui trouble les électeurs.