Le groupe « SOS jeunesse » rassemble plusieurs associations de France, y compris « Mlézi Maore ». Maxime Zennou considère que « beaucoup a été fait mais beaucoup reste à faire ». « Il faut faire tout notre possible pour que le moins d’enfants possible soient laissés sans accompagnement éducatif ».
Selon lui, « le tissu éducatif est de plus en plus actif, donnant aux jeunes plus de chances de s’en sortir. Il faut surtout œuvrer à la scolarisation des enfants », tout en reconnaissant que le flux migratoire permanent ne facilite pas les choses.
Le centre d’accueil de jour de Mtsanga-beach est cité en exemple : « on voudrait le multiplier » S’agissant du projet de centre éducatif fermé, Maxime Zennou rappelle qu’une telle structure ne pourrait accueillir que 12 « pensionnaires », « cela ne peut pas être la seule réponse » rappelle-t-il.
Il évoque aussi le rapprochement des enfants avec leurs familles aux Comores : « la place d’un enfant est aux côté de ses parents. Nous devons travailler avec les parents, les associations et les accompagner aux Comores. C’est une question diplomatie, il faut que les deux pays se mettent d’accord »