La mobilisation de la journée île morte a été un franc succès. Le sympthome d'une peur qui s'installe inéxorablement.
Un succès que personne, aucune organisation n’a tenté de s’approprier la paternité. Les seuls drapeaux qui ont été visibles ont été ceux du pays.
Selon certains, la population a répondu présente, justement parce que l’appel été anonyme, donc unanime. C’est un appel que tout le monde aurait lancé, mais personne n’a osé le faire.
Ibrahim ABOUBACAR, député socialiste de Mayotte, donne une explication plutôt originale
« C’est la peur qui a fait venir autant d’habitants de cette île ».
Les gens ont peur et se sentent abandonnés, alors ils sont partis se retrouver et crier ensembles. D’ailleurs, personne ne s’attendait à une réaction particulière d’une autorité quelconque.
S’ils avaient eu quelque chose à dire, ça aurait été de dénoncer non pas les actes barbares qui perpétrés contre la communauté, mais le sentiment d’insécurité.
Un sentiment d’insécurité que des gendarmes et des policiers dénoncent en silence, en tous les cas, pas devant leurs chefs ni dans la presse. Mais ils le chuchotent aux oreilles des victimes qui vont se plaindre.
La démonstration de peur faite par une grande partie des mahorais a-t-elle était entendue ?
Selon certains, la population a répondu présente, justement parce que l’appel été anonyme, donc unanime. C’est un appel que tout le monde aurait lancé, mais personne n’a osé le faire.
Ibrahim ABOUBACAR, député socialiste de Mayotte, donne une explication plutôt originale
« C’est la peur qui a fait venir autant d’habitants de cette île ».
Les gens ont peur et se sentent abandonnés, alors ils sont partis se retrouver et crier ensembles. D’ailleurs, personne ne s’attendait à une réaction particulière d’une autorité quelconque.
S’ils avaient eu quelque chose à dire, ça aurait été de dénoncer non pas les actes barbares qui perpétrés contre la communauté, mais le sentiment d’insécurité.
Un sentiment d’insécurité que des gendarmes et des policiers dénoncent en silence, en tous les cas, pas devant leurs chefs ni dans la presse. Mais ils le chuchotent aux oreilles des victimes qui vont se plaindre.
La démonstration de peur faite par une grande partie des mahorais a-t-elle était entendue ?