Certains agents de police font parfois aussi partie de ceux qui chapardent dans les rayons, comme le constate le journal « l’Express de Maurice » qui raconte qu’une policière s’est faite attraper en train de voler dans un magasin. Les cas se multiplient, comme ce fonctionnaire pris en train de dérober des aliments pour bébé.
Il suppliait qu’on ne le dénonce pas pour ne pas perdre son emploi. D’autres vols à l’étalage ont une motivation plus discutable, comme cet homme qui a chapardé pour plus 170 euros de tablettes de chocolat.
La police ne vient plus constater les vols, laissant le champ libre aux sociétés de sécurité privées travaillant pour les supermarchés. Elles font payer jusqu’à cinq fois le prix des marchandises dérobées. En toile de fond de cette vague de vols à l’étalage, il y a l’inflation qui touche les produits de première nécessité.