L'association, Poésie et Modernité s'est mobilisée en marge des assises de la presse francophone pour attirer l'attention des journalistes présents sur le sort des enfants des rues et des handicapés.
À quelques mètres de l'hôtel des thermes où se tiennent les assises de la presse francophone, Mathieu Contet distribue des tracts. Ce français est membre d'une association humanitaire qui s'occupe d'enfants des rues et des personnes en souffrance. "Nous demandons aux francophones présents à la Francophonie d'encourager avec nous, la France à mettre en place un service civil de fraternité" car pour l'association Poésie et Modernité, l'ancienne puissance coloniale est à l'origine d'une grande partie des maux qui frappent la société malgache aujourd'hui.
Devant des conducteurs de pousse-pousse qui ne semblent pas bien comprendre tout ce qu'il dit, Mathieu Contet affirme: "La France des Droits de l'Homme, se disant civilisatrice asservit ce peuple par le code de l'indigénat..."
S'il ne parle pas de réparation, l'activiste écrit: « Nous déposons une plainte pour tort moral d'être témoin de la maltraitance sur ce peuple Malagasy et de la perpétuelle mise sous silence, par la propagande ". Et il conclu : "La France n'a t-elle pas constaté ce qui se passe ici ?"
Mathieu et son association ne sont ni écoutés, ni entendus. Mais cela ne semble pas les affecter, d'ailleurs son leader a déjà prêché la bonne parole à Mayotte pour la cause des enfants des rues de Mamoudzou.
Son combat n'aura pas d'écho dans toute la presse francophone réunie à Madagascar mais il a la foi et beaucoup d'énergie.
Devant des conducteurs de pousse-pousse qui ne semblent pas bien comprendre tout ce qu'il dit, Mathieu Contet affirme: "La France des Droits de l'Homme, se disant civilisatrice asservit ce peuple par le code de l'indigénat..."
S'il ne parle pas de réparation, l'activiste écrit: « Nous déposons une plainte pour tort moral d'être témoin de la maltraitance sur ce peuple Malagasy et de la perpétuelle mise sous silence, par la propagande ". Et il conclu : "La France n'a t-elle pas constaté ce qui se passe ici ?"
Mathieu et son association ne sont ni écoutés, ni entendus. Mais cela ne semble pas les affecter, d'ailleurs son leader a déjà prêché la bonne parole à Mayotte pour la cause des enfants des rues de Mamoudzou.
Son combat n'aura pas d'écho dans toute la presse francophone réunie à Madagascar mais il a la foi et beaucoup d'énergie.