Anli Anrifadjati se présente sans étiquette, alors qu’il était connu comme un adhérent du Parti Socialiste.
•
« Pour les gens, les partis ne comptent plus »
explique-t-il, « la population attend plutôt des projets que des divisions. Les problèmes d’indivision à Chiconi sont « un obstacle au développement » dit-il, « on ne peut pas attendre encore 60 ou 100 ans ». Selon lui, « il faut agir immédiatement en régularisant les occupants, comme la loi le permet ». Parmi ses priorités figurent aussi des voies d’accès pour désenclaver les quartiers. Il estime enfin que l’équipe sortante a laissé se dégrader la délinquance juvénile. « Il n’y a pas assez de moyens mis en œuvre pour occuper les jeunes ».
Municipales 2020 : Zalia Albert candidate à Chiconi