Une panne d’électricité qui n’a pas duré plus de 15 minutes à la station-service de Chirongui a provoqué un début de panique et un déballage sur les conditions de travail dans cette petite unité.
Une coupure d’électricité inopinée à Mayotte n’a malheureusement rien d’extraordinaire. Cela arrive souvent et c’est rentré dans les mœurs. Pratiquement plus personne ne se plaint.
Mais ce matin, alors que les automobilistes faisaient la queue pour acheter du carburant à l’unique station-service du sud de Mayotte, il eut une coupure d’électricité. Les pompes se sont mises automatiquement à l’arrêt. La queue s’allonge, il fait déjà chaud. Les agents de Total Mayotte sont interpellés : « C’est une honte, une grande entreprise comme Total devrait pouvoir continuer à fonctionner en cas de coupure d’électricité, n’avez-vous pas un groupe de secours ? ».
Il est vrai que la question a été posée sur un ton agressif.
Et c’est ainsi que des agents excédés sont venus expliquer qu’il existe bien un groupe de secours en cas de panne, tout neuf, mais qu’il n’a fonctionné que pendant quelques jours. Il a rendu l’âme la semaine même de son installation et depuis il est là dans sa cage bleue. Des réparateurs viennent régulièrement le rendre visite, mais il refuse de repartir.
Après 15 minutes de retard, les pompes à essence redémarrent. Un autre agent est venu rassurer les automobilistes qui avaient assisté à ce déballage sur le fonctionnement de la station : « Il n’y avait rien de grave, c’est juste un problème de disjoncteur ».
Mais ce matin, alors que les automobilistes faisaient la queue pour acheter du carburant à l’unique station-service du sud de Mayotte, il eut une coupure d’électricité. Les pompes se sont mises automatiquement à l’arrêt. La queue s’allonge, il fait déjà chaud. Les agents de Total Mayotte sont interpellés : « C’est une honte, une grande entreprise comme Total devrait pouvoir continuer à fonctionner en cas de coupure d’électricité, n’avez-vous pas un groupe de secours ? ».
Il est vrai que la question a été posée sur un ton agressif.
Et c’est ainsi que des agents excédés sont venus expliquer qu’il existe bien un groupe de secours en cas de panne, tout neuf, mais qu’il n’a fonctionné que pendant quelques jours. Il a rendu l’âme la semaine même de son installation et depuis il est là dans sa cage bleue. Des réparateurs viennent régulièrement le rendre visite, mais il refuse de repartir.
Après 15 minutes de retard, les pompes à essence redémarrent. Un autre agent est venu rassurer les automobilistes qui avaient assisté à ce déballage sur le fonctionnement de la station : « Il n’y avait rien de grave, c’est juste un problème de disjoncteur ».