Ramlati Ali est mise en examen pour complicité de fraude électorale et un contrôle judiciaire léger à savoir, interdiction d'entrer en contact avec les personnes mises en cause dans cette affaire.
La suite du volet judiciaire de cette affaire était très attendue. Le premier tour de l'élection partielle dans la première circonscription de Mayotte aura lieu dans 4 semaines. Cette mise en examen n'empêche pas l'ancienne députée d'être candidate. L'affaire suit son cours. "Les électeurs jugeront" ; aurait-elle laissé entendre.
Il s’agit de la partie judiciaire de la plainte déposée par le candidat LR, Elad Chakrina, après l’élection de Ramlati Ali en juin de l'année dernière. La première décision a été la mise en examen d’un major de la brigade de gendarmerie de Mtsamboro, au soir du 24 août 2017.
Le militaire est, depuis, placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire sans autorisation du juge d’instruction. Il lui est aussi interdit de communiquer avec des personnes entendues dans cette affaire. Il doit enfin se présenter deux fois par semaine, à la gendarmerie.
Vendredi 19 janvier dernier, Le Conseil constitutionnel a annulé l'élection de la députée Ramlati Ali. L’écart de 12 voix d’avance sur Elad Chakrina a été jugé trop « faible » jusqu’à pouvoir « altérer la sincérité du scrutin ».
Il s’agit de la partie judiciaire de la plainte déposée par le candidat LR, Elad Chakrina, après l’élection de Ramlati Ali en juin de l'année dernière. La première décision a été la mise en examen d’un major de la brigade de gendarmerie de Mtsamboro, au soir du 24 août 2017.
Le militaire est, depuis, placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire sans autorisation du juge d’instruction. Il lui est aussi interdit de communiquer avec des personnes entendues dans cette affaire. Il doit enfin se présenter deux fois par semaine, à la gendarmerie.
Vendredi 19 janvier dernier, Le Conseil constitutionnel a annulé l'élection de la députée Ramlati Ali. L’écart de 12 voix d’avance sur Elad Chakrina a été jugé trop « faible » jusqu’à pouvoir « altérer la sincérité du scrutin ».