Une partie des anciens rebelles anjouanais réfugiés à Mayotte était accueillie chez un particulier à Labattoir. Ils ont été contraints de quitter les lieux, ce mercredi matin.
Ce sont les insurgés qui avaient pris les armes contre l’Armée Nationale de Développement, à Mutsamudu à Anjouan dans l’Union des Comores, il y a un peu plus d’un mois.
Une vingtaine était à Labattoir, en Petite-Terre. Ils ont manifesté leur volonté de demander l’asile politique à la France puisque leur sécurité ne serait plus assurée dans leur pays.
Ce mercredi matin, des membres du Collectif pour la Défense des Intérêts de Mayotte sont allés exiger leur départ.
Les gendarmes ont été avertis et sont venus les chercher, ils étaient 24 personnes, dont une femme. Le locataire qui les hébergeait a été mis en garde à vue pour « aide à l’entrée et au séjour irréguliers des étrangers. »
Selon des témoignages recueillis sur place, des associations d’aide aux migrants sont venues les voir depuis leur arrivée.
Une vingtaine était à Labattoir, en Petite-Terre. Ils ont manifesté leur volonté de demander l’asile politique à la France puisque leur sécurité ne serait plus assurée dans leur pays.
Ce mercredi matin, des membres du Collectif pour la Défense des Intérêts de Mayotte sont allés exiger leur départ.
Les gendarmes ont été avertis et sont venus les chercher, ils étaient 24 personnes, dont une femme. Le locataire qui les hébergeait a été mis en garde à vue pour « aide à l’entrée et au séjour irréguliers des étrangers. »
Selon des témoignages recueillis sur place, des associations d’aide aux migrants sont venues les voir depuis leur arrivée.