Les opérations de recensement de la population ont démarré le 5 septembre dernier et se poursuivront jusqu'au 2 octobre prochain. Tout devrait se passer normalement, si certaines personnes ne refusaient pas de jouer le jeu.
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Dans un communiqué envoyé à la presse, l'association des maires exprime son regret que certaines personnes refusent d'être recensées.
Et en réponse à ce manque de civisme, les communes ont décidé de frapper fort :
« L’extrait d’une attestation de recensement sera exigé pour pouvoir effectuer plusieurs démarches administratives ».
On le voit l’AMM, l’association des maires de Mayotte a décidé de jouer la carte de la fermeté !
Oui, c’est le moyen choisi par l’AMM, pour non seulement se faire entendre, mais aussi, donner la chance à cette opération de recensement d’aboutir avec succès et avec des données fiables, en ayant une marge d’erreur très courte, le nombre réel des habitant de notre département et ne plus avoir des statistiques dénoncées par tous à l’instar de ce que furent les résultats des collectes obtenues en 2012.
N’oublions pas que les communes se sont réellement engagées aux cotés de l’INSEE, l’antenne de Mayotte de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques, pour faire en sorte que le recensement 2017, ne souffre d’aucune méfiance ni d’aucune contestation.
Un vrai partenariat a été mis en place par les deux institutions pour faire de l’opération en question, une réussite.
Alors que dit l’association ?
Elle pointe une difficulté : -je cite-, « Des personnes ayant domicile à Mayotte et refusant de se faire recenser.
C’est là dit-elle, un comportement qui contribue à fausser la réalité de la démographie mahoraise et cela est tout simplement I-NAC-CEP-TAB-LE voire IN-TO-LE-RA-BLE. »
Tout en dénonçant une attitude contraire à la loi, c’est une situation qui laisse l’AMM dépourvue de moyens.
Et elle ajoute que –je cite l’association des maires là aussi- « pour toute demande de service public ou à l’occasion de l’établissement d’une formalité administrative auprès des collectivités locales, les mairies j’entends, qu’il s’agisse de l’inscription des enfants à l’école, d’une demande de certificat de justification de domicile, d’une demande de permis de construire ou aussi pour un branchement aux réseaux des services publics (l’eau, le téléphone, l’électricité etc…), un extrait d’une attestation de recensement sera impérativement exigé. »
A défaut de la production de ce document, toute demande de la part de l'intéressé fera l'objet d'un rejet par la mairie de se commune.
L’association des maires de Mayotte dénonce ce qu’elle qualifie de «rebelles au recensement».
Les personnes réticentes, sont alertées par ailleurs des conséquences négatives pour les collectivités locales, notamment en termes de dotations de fonctionnement insuffisantes, et donc des services publics moins performants.
Ajoutons d’autre part que tout refus de réponse à un questionnaire obligatoire est passible d’une amende prévue par la loi.
Qu’on se le prenne pour dit.
Toujours dans ce communiqué, l’association des Maires appelle la population à faire preuve de civisme et à accueillir les agents recenseurs qui se présenteront à leur domicile.
On savait que ce serait difficile, mais avec ce coup de poing sur la table, il y’a des chances que d’ici la fin de l’année, nous ayons un recensement qui va coller à la réalité.
Toute la question maintenant est de savoir comment les autorités locales pourront se procurer la fameuse attestation justifiant que telle personne ou telle autre, s’est réellement fait recensée.
Et en réponse à ce manque de civisme, les communes ont décidé de frapper fort :
« L’extrait d’une attestation de recensement sera exigé pour pouvoir effectuer plusieurs démarches administratives ».
On le voit l’AMM, l’association des maires de Mayotte a décidé de jouer la carte de la fermeté !
Oui, c’est le moyen choisi par l’AMM, pour non seulement se faire entendre, mais aussi, donner la chance à cette opération de recensement d’aboutir avec succès et avec des données fiables, en ayant une marge d’erreur très courte, le nombre réel des habitant de notre département et ne plus avoir des statistiques dénoncées par tous à l’instar de ce que furent les résultats des collectes obtenues en 2012.
N’oublions pas que les communes se sont réellement engagées aux cotés de l’INSEE, l’antenne de Mayotte de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques, pour faire en sorte que le recensement 2017, ne souffre d’aucune méfiance ni d’aucune contestation.
Un vrai partenariat a été mis en place par les deux institutions pour faire de l’opération en question, une réussite.
Alors que dit l’association ?
Elle pointe une difficulté : -je cite-, « Des personnes ayant domicile à Mayotte et refusant de se faire recenser.
C’est là dit-elle, un comportement qui contribue à fausser la réalité de la démographie mahoraise et cela est tout simplement I-NAC-CEP-TAB-LE voire IN-TO-LE-RA-BLE. »
Tout en dénonçant une attitude contraire à la loi, c’est une situation qui laisse l’AMM dépourvue de moyens.
Et elle ajoute que –je cite l’association des maires là aussi- « pour toute demande de service public ou à l’occasion de l’établissement d’une formalité administrative auprès des collectivités locales, les mairies j’entends, qu’il s’agisse de l’inscription des enfants à l’école, d’une demande de certificat de justification de domicile, d’une demande de permis de construire ou aussi pour un branchement aux réseaux des services publics (l’eau, le téléphone, l’électricité etc…), un extrait d’une attestation de recensement sera impérativement exigé. »
A défaut de la production de ce document, toute demande de la part de l'intéressé fera l'objet d'un rejet par la mairie de se commune.
L’association des maires de Mayotte dénonce ce qu’elle qualifie de «rebelles au recensement».
Les personnes réticentes, sont alertées par ailleurs des conséquences négatives pour les collectivités locales, notamment en termes de dotations de fonctionnement insuffisantes, et donc des services publics moins performants.
Ajoutons d’autre part que tout refus de réponse à un questionnaire obligatoire est passible d’une amende prévue par la loi.
Qu’on se le prenne pour dit.
Toujours dans ce communiqué, l’association des Maires appelle la population à faire preuve de civisme et à accueillir les agents recenseurs qui se présenteront à leur domicile.
On savait que ce serait difficile, mais avec ce coup de poing sur la table, il y’a des chances que d’ici la fin de l’année, nous ayons un recensement qui va coller à la réalité.
Toute la question maintenant est de savoir comment les autorités locales pourront se procurer la fameuse attestation justifiant que telle personne ou telle autre, s’est réellement fait recensée.