Les agents de la CSSM sont décendus dans les rues de Mamoudzou. Le carrefour Zéna Mdéré a été bloqué durant un peu plus d'une demi-heure, causant un peu plus d'embouteillage que d'habitude.
Les agents de la Caisse de sécurité sociale de Mayotte sont toujours mobilisés pour obtenir la retraite complémentaire. Le fait que ce soient les employés de cette institution donne une légitimité à cette lutte sociale. Même si, d’autres personnels de services de ‘Etat, surveillent ce mouvement ; c'est le cas de ceux de l’Agence régionale de la Santé.
Il y a une semaine, Salim Nahouda, secrétaire général de la CGT Ma, et surtout, président du conseil d’administration, dénonçait l’attitude de l'Agirc-ARRCO, l'Association Générale des Institutions de Retraite des Cadres, est une fédération d'institutions de retraite complémentaire et Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés, qui semblaient traîner les pieds.
La semaine qui vient devrait être décisive puisque M Nahouda vient de rentrer d’un déplacement à Paris pour ce dossier épineux.
Mais, pour aller au bout de ce combat qui changera la vie de nombreux retraités à Mayotte, les responsables syndicaux devront être aussi unis et parler d’une même voix, comme le font leurs adhérents-salariés dans les rues de Mamoudzou. Enfin, l’on peut se poser la question du manque d’implication de certains syndicats, vus les enjeux en cours : il s'agit de la retraite qui viendra compléter la retraite de base de la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse des salariés ou de la Mutualité Sociale Agricole (MSA).
Une grande partie des travailleurs du département est concernée.
Il y a une semaine, Salim Nahouda, secrétaire général de la CGT Ma, et surtout, président du conseil d’administration, dénonçait l’attitude de l'Agirc-ARRCO, l'Association Générale des Institutions de Retraite des Cadres, est une fédération d'institutions de retraite complémentaire et Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés, qui semblaient traîner les pieds.
La semaine qui vient devrait être décisive puisque M Nahouda vient de rentrer d’un déplacement à Paris pour ce dossier épineux.
Mais, pour aller au bout de ce combat qui changera la vie de nombreux retraités à Mayotte, les responsables syndicaux devront être aussi unis et parler d’une même voix, comme le font leurs adhérents-salariés dans les rues de Mamoudzou. Enfin, l’on peut se poser la question du manque d’implication de certains syndicats, vus les enjeux en cours : il s'agit de la retraite qui viendra compléter la retraite de base de la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse des salariés ou de la Mutualité Sociale Agricole (MSA).
Une grande partie des travailleurs du département est concernée.