Le Haïma club de Sada a profité de la grande marée basse du dimanche 20 septembre pour faire découvrir l’îlot de Sada. Une cinquantaine de personnes a parcouru les 1,6km qui séparent l’îlot du littoral. Un évènement qui coïncide avec les journées européennes du patrimoine.
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À première vue, l’îlot de Sada semble inaccessible. Mais en l’espace d’une heure la mer s’est écartée pour dévoiler le chemin qui mène jusqu’à cet énorme rocher. Ce phénomène ne se produit qu’une fois toutes les deux semaines, lors des grandes marées basses. Alors petits et grands ont sauté sur l’occasion pour découvrir ou redécouvrir l’ilot de Sada.
« Je suis déjà venu plusieurs fois mais aujourd’hui c’était l’occasion de venir avec mes enfants » Nassur Assani, habitant de Sada.
D’autres avaient une image bien précise de l’endroit, et une fois sur place, ils réalisent que la réalité est toute autre.
Cette randonnée a été initiée par le Haïma club Sada. Depuis 9 semaines, chaque dimanche les membres incitent la population à visiter les endroits mythiques de la commune de Sada, ainsi que les villages aux alentours.
« Je suis déjà venu plusieurs fois mais aujourd’hui c’était l’occasion de venir avec mes enfants » Nassur Assani, habitant de Sada.
D’autres avaient une image bien précise de l’endroit, et une fois sur place, ils réalisent que la réalité est toute autre.
Cet endroit est chargé d’histoire et de mystère. Et c’est ce qui fait son charme. La légende raconte qu’on exilait les fous sur cette îlot, ou encore que l’endroit est habité par les djinns.De loin on ne voit pas certaines particularités. On ne voit pas que la végétation est très sèche et fragile. On se rend compte que c’est un lieu à préserver
Cette randonnée a été initiée par le Haïma club Sada. Depuis 9 semaines, chaque dimanche les membres incitent la population à visiter les endroits mythiques de la commune de Sada, ainsi que les villages aux alentours.
Les plus courageux ont escaladé l’îlot jusqu’à son sommet. La vue imprenable qui s’est offerte à eux leur a fait oublier toutes les péripéties du parcours.Notre objectif était de nous approprier notre patrimoine. On a fait les hauts de Sada où on a découvert tout ce qu’il s’est passé