On les appelle, en anglais comme en français, les « sex-toys ». Ce n’est pas une blague, on n’est pas le 1er avril. Comme le sujet est hautement tabou, les Seychellois sont invités à donner leur avis dans l’anonymat via un questionnaire du ministère du commerce à remplir sur internet.
12 questions leur sont posées, auxquelles ils et elles devront répondre avant le 31 mars. A partir de là une règlementation sera établie. Jusqu’en 2014 l’importation de jouets sexuels et tout autre matériel à caractère pornographique était interdite. Maintenant c’est toléré, mais il n’y a que des ventes sur les réseaux sociaux.
Si les Seychellois sont d’accord, une véritable commercialisation pourra alors être autorisée, dans des commerces spécialisés… évidemment pas sur les rayons des supérettes