Le président Seychellois et plusieurs de ses ministres s’envolent pour Abu Dhabi pour signer des accords avec le richissime Emir Ben Sayed, président des Emirats, prêt à financer les travaux.
Le parking des avions était prévu pour six appareils, mais il ne peut en accueillir que trois en même temps parce que les avions sont de plus en plus gros. Aux Seychelles, il n’est pas rare que l’on gaspille du kérosène à faire tourner les avions dans le ciel en attendant qu’une place se libère. Les jets privés sont priés de repartir tout de suite après avoir déposé leurs clients.
Dans le projet, il est question également d’un bâtiment d’aérogare beaucoup plus vaste et d’un hôtel construit au sein même de l’aéroport pour les touristes en transit vers les autres îles de l’archipel.